1. Claire


    Datte: 26/01/2018, Catégories: jeunes, alliance, grossexe, fépilée, intermast, Oral pénétratio, prememois, Auteur: Fawkes, Source: Revebebe

    ... de lui dire.
    — Viens… me dit-elle avec impatience.
    
    Je posai mes mains sur ses fesses et la pénétrai. J’y allais doucement, pour ne pas la surprendre. Une fois bien emmanché, elle poussa un "han" très expressif et commença de se tortiller. C’était délicieux. Mais c’était moi le mâle et mon ego disait de reprendre les rênes. Je lui saisis les hanches et commençai mon va-et-vient, alternant les mouvements lents et les plus rapides.
    
    — Oui comme ça… je la sens bien…
    
    Je la pilonnais de plus en plus fort, lui arrachant un gémissement à chaque coup de rein. Les "hum" et les "oh" se succédaient, signe qu’elle prenait vraiment son pied. De mon côté, je n’avais pas à me plaindre. Sensation exquise que de sentir ses parois frotter contre mon gland gonflé à bloc. Je commençais à sentir le plaisir monter, j’allais jouir sous peu. J’allais lui annoncer mais elle me devança :
    
    — Je veux que tu jouisses en moi… je veux sentir te répandre au fond de moi…
    
    La logique, la précaution, l’intelligence me disaient de me retirer. Mais dans ces moments-là, on n’écoute plus rien de tout ça. J’accélérai alors encore la cadence et me vidai de ma ...
    ... semence au plus profond de ses entrailles dans un râle sourd. Elle jouit à son tour, ses contractions prolongeant mon plaisir.
    
    Je me retirai et m’allongeai contre elle. Nous nous embrassâmes passionnément, un baiser digne des plus grands films d’amour. Nous restâmes un moment enlacés, savourant cet instant de complicité, de béatitude qui succède à la jouissance. Nous nous avouâmes nos sentiments réciproques.
    
    Cette nuit-là, nous avons dormi dans le même lit. Nos parents respectifs ne devant pas rentrer avant le lendemain soir, nous ne nous inquiétâmes pas d’être surpris.
    
    ***
    
    Trois semaines plus tard, j’appris qu’elle était enceinte. De moi évidemment, puisqu’elle n’avait rien fait depuis. Elle était perdue, paniquée, déboussolée, ne sachant pas quoi faire. Je lui expliquai qu’elle ne pouvait pas le garder, que c’était impossible, ça aurait créé trop d’histoires. Elle me dit qu’elle allait avorter. Je lui répondis que c’était ce qu’il y avait de mieux à faire.
    
    Peu après nos chemins se séparèrent, études obligent. Nous avons perdu le contact.
    
    Deux ans après, je la revis. Elle tenait un bébé dans les bras.
    
    Mon fils. 
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