1. L'autre sexe au naturel. (4)


    Datte: 15/06/2018, Catégories: Erotique, Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... Genny, dit-il quand ma sœur revient avec un champagne rosé, je suis ici, car j’ai rencontré vos filles grâce à ma compagne. Elles sont amies sur Facebook. Elle m’a proposé de les embaucher comme gouvernante pour mes villas. J’en possède sept sur la région. Je ne vous force pas la main, mais elles ont été très compétentes lors de leur période d’essais.
    
    — Mais Monsieur...
    
    — Charles, appelez-moi Charles.
    
    — Charles, vous voulez que nos filles soient vos employées ? Mais leurs études, dit ma mère inquiète.
    
    — Elles continueront, j’y veillerais. Je vous en fais la promesse.
    
    Ma mère se lève, son paréo tombe. Charles, en gentleman, le ramasse et le lui replace. Ma mère est pétrifiée, mais esquisse un petit sourire. Charles se rassoit et nous ressert. L’ambiance semble se détendre.
    
    — Vous mangerez avec nous ? propose mon père.
    
    — Malheureusement, je ne peux pas honorer votre invitation, j’ai une réunion de travail ce soir. Je suis très pris. Vous comprenez que ma compagne, l’amie de vos filles, ne peut gérer tout mon patrimoine à elle toute seule.
    
    — Oui, oui, on le comprend fort bien, mais j’aimerais voir les contrats d’embauche, dit ma mère.
    
    — Je comprends. Gabrielle, va dans le coffre de ma voiture, il y a ma mallette.
    
    Je pars en sautillant jusqu’à la voiture, prends ladite mallette. Il y a un petit mot. "Préparez vos affaires, je vous ramène ce soir". Je reviens. Il pose deux documents sur la table. Nos parents les lisent attentivement. Mon père ...
    ... écarquille les yeux.
    
    — Quoi, un salaire de 5000 euros pour les deux ?
    
    — Chacune, dit Charles, chacune. Plus les frais de bouche. Elles vivront chez moi.
    
    Ma mère reste sans voix et notre père nous demande notre choix. On lui dit que la décision doit être prise à quatre, en famille. Charles se lève et plonge dans la piscine. Ma mère n’arrive pas le quitter des yeux.
    
    — C’est clair qu’il a de charmants atouts, dit-elle.
    
    Mon père, moins terre-à-terre, nous demande notre choix et surtout si nous allons quitter le cocon familial. Ma sœur lui répond :
    
    — Oui, mon papounet, on va vous laisser tranquille. Mais ne vous inquiétez pas, vous nous aurez encore sur le dos encore longtemps.
    
    — Sophie, tu en penses quoi ?
    
    — Si elles sont heureuses, je me plie à leur souhait.
    
    On leur saute au cou et les serrons dans nos bras.
    
    — On a nos sacs à faire, dis-je, Charles nous emmène chez lui.
    
    Nos sacs prêts, Charles charge le tout dans le coffre de sa berline. Mes parents restent babas devant la luxueuse Audi. Nous embrassons une dernière fois nos parents, mon père a un petit sourire crispé, ma mère essuie une larme.
    
    — Faites attention à vous, glisse-t-elle.
    
    — T’inquiète, lui répond Genny, on est entre de bonnes mains.
    
    On quitte à regret notre maison. Au bout de 10 minutes de voiture, on s’aperçoit que l’on ne prend pas la direction de la villa, mais celle du centre-ville.
    
    — Juju nous attend à son institut. Vous allez beaucoup aimer, ou pas.
    
    On s’arrête sur le ...