1. L'autre sexe au naturel. (4)


    Datte: 15/06/2018, Catégories: Erotique, Auteur: tomy83, Source: Xstory

    ... mon père batifoler. Qu’il est beau ! 1m90 pour 85 kilos, les tempes grisonnantes, un bide tendu par des abdominaux entretenus, des fesses magnifiques et une queue de bonne taille. Il est entièrement épilé. Je bande. Pour mon père ? Et pour qui d’autre. Je nage vers lui et là, je ne sais pas ce qu’il me prend, je saisis son rostre dans ma petite main. Il me regarde avec des yeux bleus.
    
    — Gaby ? Que t’arrive-t-il ? Tu es folle ?
    
    — De toi, papa... dis-je en posant ma tête sur son épaule.
    
    Surprise de ma réaction, il me repousse, je m’éloigne de lui. Il me rattrape par une jambe et me met face à lui.
    
    — On ne peut pas, ma chérie, je suis ton père. Trouve-toi un garçon. Tu es un bijou de beauté, crois-moi.
    
    On se regarde dans les yeux. Je l’embrasse passionnément. Il craque et me masturbe.
    
    — Oh, papa, si tu savais.
    
    — Qu’y a-t-il, ma puce ?
    
    — Non, rien. Allons prendre l’apéro.
    
    Je sors de l’eau, suivi de mon père. On fait un beau tableau tous les deux avec nos bites tendues à leur maximum. On se regarde et on éclate de rire. Il me caresse mes fesses et on s’enrubanne chacun dans une serviette de bain et on rejoint le salon de la terrasse où ma sœur nous attend.
    
    — Vous auriez pu être un peu plus discret, dis Génny, si maman vous avez vu ! Elle est partie à la douche. Une chance pour vous.
    
    Mon père éclate de rire, moi, je dois être cramoisie.
    
    — Que se passe-t-il, ici ? Ma mère est revenue, nue.
    
    — Rien, dit ma sœur, ils sont tellement contents de ...
    ... se revoir qu’ils bandent.
    
    — Faites-nous en profiter. Allez, allez, montrez-nous ça.
    
    Je reste bouche bée devant la réaction de ma mère. Mon père se lève et ôte sa serviette. Putain qu’elle est belle sa queue. Je me lève, un peu honteuse, et Genny tire sur ma sortie de bain.
    
    — Et bien nous voilà à égalité.
    
    Au deuxième verre, le téléphone de Génny vibre. C’est Charles et il dit qu’il sera là à 14 h 00. Nous passons à table. L’ambiance est conviviale, joyeuse. Après avoir débarrassé la table et tout mis au lave-vaisselle, ma sœur et moi passons par la douche pour enlever les odeurs de barbecue.
    
    14 h 00, on frappe à la porte. Je vais ouvrir, nue. Ma mère et mon père sont allongés sur les bains de soleil. Ils n’ont pas entendu.
    
    — Bonjour Gaby. Tes parents sont là ?
    
    — Oui, oui. Ils bronzent.
    
    Je le dirige vers la terrasse. Il est habillé classe. Pantalon en lin, chemise blanche et mocassins noirs. Mon père est le premier à se rendre compte de la présence de Charles. Il bouscule ma mère qui se saisit d’un paréo.
    
    — Ne vous gênez pas pour moi, chez moi aussi je vis nu, dit-il en enlevant sa chemise, ses mocassins et son pantalon. Venez, nous serons plus à l’aise devant une bonne bouteille. Genny, veux-tu aller la chercher, elle est dans ma voiture.
    
    Décontenancés, nos vieux sont comme des robots. Ils s’installent autour de la table basse. Charles dans un fauteuil, mes parents sur la banquette. Ma mère et mon père portant toujours leur paréo.
    
    — Bon, merci ...
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