1. Les chemins de l'amour (1)


    Datte: 26/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: alpha_s3, Source: Xstory

    ... me retrouva à gémir, que dire, hurler mon plaisir sous sa langue. Les orgasmes se succédaient et j’étais emportée dans un flot de plaisir interminable. Je me sentais défaillir et presque mourir de tant de plaisir. Je l’implore d’arrêter.
    
    — D’accord maman. Je t’ai goûtée. Tu as la chatte la plus bonne à lécher et boire que je connaisse. Jeanne avait la palme, mais toi, tu es succulente. Tu es même sucrée. J’adore. Maintenant que tu es lubrifiée, je vais te baiser. Je vais baiser ta chatte. Il y a quelques mois, la doyenne de la fac m’a mis dans son sofa et m’ordonna de la défoncer. Aucun homme n’y passait depuis des années et elle a eu mal, vraiment mal. Elle le voulait comme ça, soi-disant pour expier cette faute. Mais les prochaines fois, sa conscience semblait tranquille, car elle m’a fait la faire mouiller comme je viens de faire avec toi.
    
    — Pense à me rappeler de lui envoyer plein de cadeaux. Elle a fait son devoir de t’apprendre comment préparer et prendre une vieille femme en jachère.
    
    — Je vais te labourer et t’ensemencer ma petite maman avec la chatte en jachère. Je peux me vider en toi ? Ou il me faut des préservatifs ?
    
    — Mon petit cœur. Mon vagin et mon utérus t’appartiennent. C’est ta maison. Bien sûr que tu peux te vider en moi. J’ai fait ligaturer mes trompes durant l’accouchement.
    
    Sans un mot de plus, Jan me pénétra. Mon fils pénétra ma chatte avec sa bitte. Elle n’était ni trop grande ni trop petite. Sa forme était magnifique et elle épousait ...
    ... parfaitement mon canal. Le canal d’où il est sorti voilà 22 ans. Il l’emprunta dans le chemin inverse. Ou plutôt une partie de lui l’emprunta.
    
    Le premier quart d’heure était plutôt doux. Nos bouches étaient accouplées comme nos sexes et le rythme était lent. Il prenait son temps et ça me faisait tout drôle. J’étais toute chose avec lui en moi, dans ses bras. Je pensais qu’il voulait me ménager. Mais il ne me laissait pas parler avec sa langue enfouie dans ma bouche.
    
    En fait, il ne faisait que suivre les instructions de son ancienne vieille amante. Il me préparait au labourage. Et ça l’a été. Quand les quinze minutes furent achevées, il se décolla de ma bouche, se mit en position, écarta mes jambes encore plus. Il arborait un sourire quasi diabolique, mais plein de fougue et de désir. Il m’a fait un clin d’œil.
    
    Et c’était parti. C’était aussi violent que l’accouchement. Je n’arrêtais pas de repenser et de comparer les deux situations. L’inceste me rendait folle et j’adorais ça. Les va-et-vient de la bite de Jan se faisaient plus profonds, plus rapides, parfois même saccades... Quelquefois, il s’enfonçait tellement qu’il me poussait sur la tête du lit et je me cognais la tête. Il gémissait et disait des choses incompréhensibles, du moins pour moi. La vérité, c’est surtout que mes propres gémissements et mes hurlements m’assourdissaient. Je n’étais que plaisir à l’état pur.
    
    Mon fils, mon bébé, mon chéri, me tringlait, moi sa douce et gentille maman, comme la dernière des ...
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