Une visite pseudo-impromptue - Histoires de Sexe

Une visite pseudo-impromptue

... jettes en pâture à des mâles en rut pour pouvoir baiser avec moi ?
— Il est vrai que je trouve normal que ma femme puisse s’envoyer en l’air si j’en fais autant de mon côté, mais de là à la jeter en pâture, c’est un peu exagéré !
— Tu aimes baiser avec moi ?
— À ton avis ? Nous faisons quoi depuis tout à l’heure ?

Et pour appuyer mes dires, je la pistonne de plus belle. Ravie, elle glousse et s’abandonne à mes caresses, à ma queue. Durant ce temps, de l’autre côté, les choses s’organisent. J’entends distinctement la voix grave de David s’adressant vraisemblablement à ma femme :

— Comme c’est moi le plus costaud et le plus résistant de nous tous, j’vais m’allonger sur le canapé, et toi tu viendras sur moi.
— Je… je me positionne comment ?
— C’est simple, ma jolie : tu t’assieds sur ma bite, puis tu t’allonges sur moi afin qu’un autre puisse te bourrer la chatte.
— Tu… t’es en train de me dire que c’est toi qui va me…
— Oui, t’as tout pigé : c’est moi qui vais t’enculer !

Comme pour l’évaluer, ma femme regarde posément le sexe bien raide de David :

— C’est un sacré machin !

Je constate au passage que ma femme n’a pas dit non. Ah, ces femmes… toutes des salopes en puissance ! Maurane, Vanessa, pas une pour rattraper l’autre, mais j’ai grand tort de m’en plaindre amèrement. David répond d’un ton qu’il veut persuasif :

— Oui, c’est vrai, mais tu le connais déjà, tu l’as déjà sucé et tu l’as eu aussi dans la foufoune. Et t’avais pas dit non…
— Oui, j’en ...

... sais quelque chose ! Mais un machin pareil dans le cul, ça me fait peur !
— T’inquiète, c’est malléable, et quand tout est entré, tu vas voir, ça fait vachement du bien !
— Oui… c’est toi qui le dis…
— Toutes les femmes que j’ai enculées ne se sont pas plaintes d’avoir eu leur cul bourré par ma grosse bite ! Si tu m’crois pas, demande à ta bonne copine ! Détends-toi et prépare-toi à jouir comme une petite pute !

Prenant la direction des opérations, David s’assied d’abord sur le canapé. Il badigeonne abondement son sexe de lubrifiant. Puis s’emparant à pleines mains des hanches de ma femme, il dirige ses fesses vers sa verge triomphante. Comme subjuguée, Vanessa se laisse guider. Tout le monde regarde ce qui est en train de se passer, même Maurane.

— Allez, ma jolie, il est grand temps de te faire sentir ma bite dans ton trou du cul !
— Vas-y mollo !
— T’inquiète ! J’t’ai dit qu’elle est malléable ! Tu l’auras complètement dans le fond d’ton cul que t’auras pas compris c’qui t’est arrivé !
— C’est toi qui le dis !
— Et j’te l’prouve ! Et hop !

Maintenant toujours fermement le bassin de Vanessa, David oblige celle-ci à s’empaler sur un gros gourdin de chair. Pressé contre la rondelle de l’anus, le gland s’arc-boute un bref instant avant de disparaître sans trop d’efforts dans les sombres abysses du rectum. À haute voix, ma femme s’étonne :

— Hou !? Ce… c’est… c’est étrange comme sensation !
— Tu vois, ma jolie, ça passe comme une fleur !

Déjà quelques ...