1. Les jarretières de soie rouge


    Datte: 14/06/2018, Catégories: fhh, hbi, hagé, fagée, couplus, inconnu, caférestau, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme odeurs, Masturbation intermast, Oral hdanus, hsodo, init, couple+h, Auteur: Alain C, Source: Revebebe

    ... plateau de métal argenté supportant deux verres, une bouteille de liqueur et un seau à glace. Tout de suite, mon attention se concentre sur Annie. Cette dernière se penche au-dessus de la table, enfonce sa main dans le seau à glace, la retire pleine de glaçons. Elle laisse tomber ceux-ci dans les verres, où ils firent un tintement de clochette. Elle ouvre la bouteille et verse très lentement la liqueur de couleur verte, noyant les glaçons. Juste un filet. Pour faire durer le plaisir. Je laisse, malgré la présence de son mari (consentant), mes yeux fixés sur la longue jambe découverte, à cinquante centimètres à peine de moi. La jarretière rouge est une invitation à y poser la main !
    
    D’elle-même elle s’arrête de verser, se redresse. Elle se détourne, marche vers la sortie et disparaît. Daniel me donne son aval pour que j’aille la retrouver. Je prends mon verre, le bois d’un trait, et m’aventure le long du couloir. Annie a laissé la porte de sa chambre ouverte. Un instinct secret doit lui dire qu’elle n’est pas seule, qu’il y a une présence près d’elle, qui la regarde, qui l’espionne. Annie vire sur elle-même, et pose son regard sur moi. Son corps oscille de sensualité. Elle est heureuse d’être admirée dans tout l’épanouissement de sa beauté. Elle doit avoir en elle une part d’exhibitionnisme, le besoin de se dédier aux regards des hommes.
    
    Elle porte ses mains sur les fines épaulettes. N’étant plus retenue, la nuisette coule lentement en direction du sol, entraînée par ...
    ... son propre poids, le long de son corps. La poitrine cabrée d’abord, puis le ventre musclé, le triangle très poilu au niveau du sexe. Les jambes entières pointent ensuite. La nuisette tombe en corolle autour des pieds d’Annie. Elle l’enjambe, balaye ses mules en deux secondes, et me fait signe d’approcher, et me disant :
    
    — Retire-moi à présent mes bas, veux-tu !
    
    Sans un mot, je m’agenouille à ses pieds. Je transfère la jarretière de sa jambe gauche vers le haut. Je roule sur lui-même la bande de dentelle de son bas. Le contact du voile puis celui de sa peau m’électrisent. À l’aide de mes deux mains, je love la fine maille jusqu’à la cheville. Délicatement, elle soulève un peu sa jambe, me soumet de nouveau son pied pour que j’extirpe le nylon de sa peau. Ce que j’exécute patiemment, laissant un doigt effleurer la plante de son pied. J’accomplis la même initiation à sa jumelle. Elle prend, d’elle-même l’initiative de retirer les deux jarretières, d’un geste long et sensuel.
    
    Elle prend alors place dans la douche. Elle dédie son beau corps à l’eau tiède. Je ne me prive pas d’observer son corps phénoménal dressé devant moi. Les jambes fuselées, légèrement écartées. L’eau coule sur toute sa beauté en traînées brillantes qui précisent chaque courbe, accusent chaque creux, se glissent dans les replis les plus secrets, leur donnent des reflets d’argent. La chair d’Annie vibre de sensualité. Elle est heureuse d’être contemplée dans tout l’épanouissement de son âge. Un désir fou ...
«1...345...10»