Ma tendre maman (3) - Histoires de Sexe

Ma tendre maman (3)

... marmonne un « cochon ! » et reprend sa tâche. Après un long moment d’activité buccale qui nous a amenés tous deux vers les sommets du plaisir, Hélène interrompt sa succion, se redresse debout sur le lit et me fait face. J’ai une vue panoramique sur son entrejambe qui brille de ma salive et de sa mouille. S’accroupissant, elle attrape d’une main ferme mon engin pour le guider vers son paradis.

La vision est très cochonne, Hélène se frotte délicatement la vulve avec ma colonne, et de l’autre main, se malaxe les seins. Ces instants de caresses érotiques me paraissent durer une éternité, je suis sur mon petit nuage. Avec un déhanché sensuel tout en lenteur, ma tige disparaît, avalée par ce puits dégoulinant de désir. Une fois bien emmanchée, ma belle me malaxe le sexe avec des contractions vaginales.

Hélène me regarde avec ses yeux verts, pleins de malice et de désir.

— Tu aimes, mon chéri ?

— C’est absolument génial, mam... euh... Hélène !

— Alors, profite bien, je vais te faire connaître des moments inoubliables !

Les mains en appui sur mon torse, le rodéo va commencer tout en douceur, par des mouvements amples, montant très haut, laissant juste le gland au chaud, et une descente tout en roulant du derrière. Intérieurement, je me dis, quelle chance j’ai de faire l’amour avec une telle femme ! Je ne reste pas inactif, je donne également de légers coups avec mon bassin lorsqu’elle se trouve bien au fond. Ces petits coups lui déclenchent de profonds soupirs, ...

... elle apprécie le traitement, car elle me sourit, mes mains flattent ses flancs, sa peau s’électrise sous mes caresses. La vitesse augmente progressivement, mes mains jouent avec ses seins, agacent les tétons qui pointent fièrement.

— Comme il me remplit bien ton bâton d’amour ! C’est trop bon de faire l’amour ! Humm, Humm, Humm !

— Oh ouiii, c’est le pied !

Les yeux clos, la tête en arrière, Hélène est dans son monde, celui d’un plaisir profond, je subis avec bonheur son traitement, la cadence augmente, devenant presque infernale, la chambre résonne de nos gémissements. Ses mouvements sont désordonnés, subitement, elle se cambre, ses cordes vocales émettent alors une longue plainte de plaisir.

— Oh ouiii, je jouis mon Amour !...

Un flot important de cyprine inonde ma tige, elle me broie, ce qui déclenche de suite ma jouissance.

— Je viens ma chérie !

— Lâche tout ! Inonde-moi !

Plusieurs jets emplissent avec fougue sa matrice chaude et dégoulinante, ce ne sont plus que ahanements, gémissements pendant de longues secondes. À bout de souffle et de force, Hélène s’affaisse sur mon torse, la tête sur mon épaule, tous les deux le souffle court, nous redescendons de notre nirvana charnel. Après plusieurs minutes à savourer notre bonheur, une voix douce se fait entendre.

— Alors, comment j’ai été ?

— Diabolique, mon Amour ! Mais diaboliquement exquis !

— C’est ce que l’on appelle l’Amour, mon chéri !

— Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir en ...