Ma tendre maman (3) - Histoires de Sexe

Ma tendre maman (3)

... interdit, tu vois, moi aussi, je n’ai pas osé franchir cette frontière !

— Alors, tu savais ? Et je n’ai rien vu, rien entendu !

— « Tu étais tellement dans ton trip qu’un troupeau d’éléphants serait passé dans le couloir, tu ne l’aurais même pas remarqué ! »

— C’est quand même fou tout cela !

— Attends, je n’ai pas fini !

— Ah bon, je t’écoute !

— Du jour au lendemain, ton comportement a changé, tu étais beaucoup plus attentionné avec moi, quelquefois, tu te frottais contre moi, et là, je frémissais de tout mon corps, mais tu n’osais pas aller plus loin, j’étais déçue, je me réconfortais en me disant la prochaine fois, il franchira le pas. Et toujours rien de ta part, je te désirais tellement !...

— J’en avais très envie, mais j’avais peur de ta réaction.

— Ma réaction aurait été la même que ce matin !

— Et quand on allait courir le dimanche matin, tu faisais exprès de ralentir, pour être derrière moi et mater mon derrière que je déhanchais pour te provoquer !

— Wahoo, maman, tu me voulais absolument !

— Tu ne peux pas savoir mon chéri !

— Une chose m’était insupportable, c’est lorsque tu ramenais ta copine le soir à l’appartement et que vous faisiez l’amour dans ta chambre, vous n’étiez pas très discrets, la souffrance pour moi était atroce, je voulais me trouver à la place de cette fille !

— Pardon, maman chérie !

— Ce n’est rien mon homme, je me réconfortais tant bien que mal, me disant que j’étais folle d’être amoureuse de mon ...

... fils !

— Oh maman, je t’aimais déjà très fort à cette époque, et aujourd’hui, je t’aime encore plus fort !

Je la serre de plus en plus fort tout contre moi, dépose mes lèvres sur les siennes. Hélène répond à mon baiser, et nous nous embrassons passionnément. Mais voilà qu’elle me repousse !

— Laisse-moi finir ce que j’ai à te dire !

— Tu m’as annoncé ta rupture avec ta copine, j’ai repris espoir, je me suis dit, maintenant qu’il est seul, il va peut-être oser, et une semaine plus tard, tu m’annonçais ton départ pour Biarritz. Là, tout s’effondrait, je croyais te perdre à tout jamais, j’étais tellement amoureuse de toi ! Le soir dans ma chambre, j’étais si triste que j’en ai pleuré toutes les larmes de mon corps, et quand on se téléphonait ou en visio, lorsque je raccrochais, la tristesse m’envahissait, et les larmes coulaient.

« Ma pauvre maman, je suis vraiment désolé, tu sais pour moi aussi, c’était dur, un combat de tous les jours, je suis amoureux de toi depuis si longtemps, mais il y avait cette barrière que je n’osais pas franchir !

— « Voilà pourquoi j’ai décidé de venir cette semaine, je te voulais, te sentir en moi au moins une fois, mais je ne pensais pas que ce serait dès le premier matin ! Tu ne regrettes pas d’avoir fait l’amour avec moi ?

— Regretter ?? Tu es folle de penser une chose pareille, au contraire j’ai plus qu’envie de recommencer, je ne veux que notre bonheur ma petite maman chérie !

— Frédéric, mon amour !

— Oh, tu es bien ...