1. Christine...


    Datte: 13/06/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, fépilée, Collègues / Travail vengeance, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Silian, Source: Revebebe

    ... Je ne me gênai pas pour lui dire. Elle gémissait doucement en me pompant, ce qui me rendait de plus en plus dingue.
    
    — Mets-toi sur la table.
    
    Elle s’exécuta, Se plaça sur le dos, ses seins lourds encore humides de ma salive, gonflés et majestueux. Elle était superbe. Jamais encore je n’avais baisé une si belle femme. Et le pire, c’est qu’elle semblait y prendre goût. Cela, je ne me m’expliquais pas. Et je ne voulais pas me l’expliquer.
    
    Je fis glisser son tailleur, découvrant ses longues jambes et une chatte toute lisse. Je m’agenouillai devant cette magnificence comme devant l’autel lors de ma première communion. Je la léchai. J’y mettais tout mon cœur. L’occasion de poser ma langue sur une aussi belle chatte ne me serait sans doute jamais plus offerte. Alors, je me déchaînai, embrassai son abricot, agençai géométriquement toutes les formes possibles autour de son clitoris. Elle avait bon goût. Je la sentis se détendre. Elle écartait ses cuisses. Elle s’offrait. Elle jouit une fois, deux fois. Combien de temps l’avais-je léchée ainsi, je l’ignorais.
    
    Je me relevai, avalai deux gorgées de whisky, baissai mon pantalon puis, mon sexe prêt à exploser, j’entrai en elle. Chatte douce, chaude. Je la caressais, je la baisais, je lui pétrissais les seins. Je l’embrassais. D’abord réticente, elle se laissa aller et me rendis mon baiser, joua avec sa langue sur mes tétons, mordilla le lobe de mes oreilles, donna des coups de langue sur mon cou. Je n’y tins plus et, me ...
    ... retirant soudainement, crachai de longs jets brûlants sur son ventre plat.
    
    Elle se rhabilla. Moi aussi. Je lui proposai du whisky. Elle accepta. Nous bûmes encore. Je n’osais pas parler. Je finis quand même par lui demander.
    
    — Pourquoi avoir cédé si facilement ?
    
    Elle sourit. Sortit un téléphone portable de son sac à main.
    
    — Parce que j’ai tout filmé. Parce que j’avais besoin de te tenir toi aussi.
    — C’est quoi ?
    — C’est le moment où tu me baises sur ton bureau. Bonne qualité, non ?
    
    J’entendais nos gémissements qui grésillaient dans une triste mono métallique.
    
    — Si on veut.
    — Cela sera assez pour ta direction.
    — Que veux-tu ?
    — Voilà le deal. Tu ne m’emmerdes plus avec les mails et je ne t’emmerde pas avec ce film. Une augmentation conséquente par an et une promotion dans trois mois.
    — Pourquoi ferai-je ça ?
    — Pour ne pas te faire virer comme une merde et parce que tu auras droit à un extra quand j’en aurais envie.
    — Salope.
    — Oui. Tu sais pourquoi j’ai pris du plaisir ?
    — Non ?
    — Parce que tu baises bien et parce que j’ai pensé à l’argent et à ce que j’allais raconter à mon amant. Ça devrait bien pimenter notre soirée. Tu me prenais pour qui ? Une gentille mère de famille qui angoissait à l’idée de tromper son mari ? Tu crois me connaître ? Tu penses que ma vie t’est familière ?
    
    Elle est repartie comme ça. Et je me suis rendu compte à ce moment précis que j’aimais cette femme. Terriblement. Depuis le premier jour. Elle était ce que je ne pouvais pas ...
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