Christine...
Datte: 13/06/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
fépilée,
Collègues / Travail
vengeance,
chantage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
Auteur: Silian, Source: Revebebe
... Mon meilleur ami. Et j’ai deux enfants moi aussi. Mais ton corps me rend fou. Je n’ai qu’une envie c’est être en toi. J’ai adoré te prendre contre ma voiture hier. Dis-moi que tu as aimé me sentir. Dis-moi que tu as aimé ma langue sur tes seins, sur ta chatte. Dis-moi que tu as aimé que je jouisse en toi.
D’autres messages encore. Même teneur. Même sel. Ça s’étirait sur plusieurs semaines. Elle les gardait, l’inconsciente. « Salope », ne pouvais-je m’empêcher de murmurer. Salope. Les mots de son amant me rendaient fou. J’imaginais Christine, nue, belle, les jambes écartées devant une voiture, sur un chemin perdu, près d’un sous-bois sous la lune. Un sous-bois. Sous la lune. J’en salivais. Pourtant, moi, la nature… Je cliquai sur "Messages envoyés". Ma respiration s’accéléra tandis que j’ouvrais un à un les messages que Christine avait envoyés à son amant.
Tu me manques. Je crois que je suis en train de tomber amoureuse de toi. Es-tu certain de vouloir continuer ce jeu ? Si Paul apprend ça, il va devenir fou. J’ai peur.
Ta queue en moi m’a rendue folle hier. Tu peux tout me faire. Je suis à toi. Je ne porte rien sous mon tailleur aujourd’hui. Comme tu me l’as demandé. Paul se demande pourquoi je me suis épilée. Je lui ai dit que c’était pour lui. J’ai des remords, je suis une salope. Mais je n’arrive pas à me contrôler. Hier, pendant le repas à la maison, j’ai cru que j’allais jouir sur place quand tu as passé ta main sous la table. C’est dangereux Marc ce qu’on est ...
... en train de faire.
Ne rien porter sous mon tailleur tous les jours est un supplice que je ne souhaiterais pas à ma pire ennemie. Ça m’excite. J’ai l’impression que mon patron me reluque. Il a un air vicelard, celui-là. Pas désagréable, mais un peu sur le retour. Quand même. J’ai mis mon string dans mon sac à main, je te le donnerai ce soir. J’ai envie que tu me baises bien.
Je déglutis en lisant ces derniers mots. Salope. Voilà le seul concept qui tournait dans mon esprit chahuté par les toxines. Ma montre. Les employés allaient arriver. Pourquoi lançai-je mon doigt dans d’obscures manipulations ne visant qu’à imprimer les mails sulfureux ? Quelle intuition sourde tenait mon esprit ? Les plans sordides déjà s’entassaient dans mon inconscience poussiéreuse.
Je me rappelle de ce jour-là. Le ciel traînait une épaisse chaleur. Enfermé dans mon bureau, je lisais et relisais les mails de Marc et Christine. Je bandais dur et les quelques gorgées de whisky que je m’autorisais avec une régularité de montre suisse n’arrangeaient pas les choses. Je la surveillais. J’observais son dos. Ce petit chemisier. Je me dressai légèrement pour deviner le bas de son dos, ce tailleur qui enserrait son cul. « Et rien en dessous », me répétais-je. La journée s’étira misérablement. J’allai me branler deux fois aux toilettes et si le baume m’apaisait un moment, l’envie, l’excitation reprenaient leurs droits très vite. Merde, je devenais un putain d’animal.
La soirée s’installa et la destinée ...