1. Christine...


    Datte: 13/06/2018, Catégories: fh, hplusag, extracon, fépilée, Collègues / Travail vengeance, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, Auteur: Silian, Source: Revebebe

    ... sentir l’odeur claire de son parfum, observer la légère humidité sur son cou lorsqu’il faisait chaud, là, sous ses cheveux qu’elle remontait en chignon quelquefois. Je regardais son cul serré dans la jupe étroite. J’imaginais un string. Peut-être rien. Je l’espérais lisse. De temps à autre, un chemisier particulier laissait deviner la naissance de ses seins ronds et fermes. J’y aurais glissé un doigt. J’aurais léché sa peau et la pointe de ses seins pendant des heures jusqu’à les sentir durs à en hurler. Il y avait de l’innocence en elle. En plus de sa beauté et de son anatomie affolante, elle semblait pure. Mère de famille. Ça me rendait dingue.
    
    Quand la pression devenait trop forte, je partais me barricader aux toilettes et je me branlais en imaginant sa bouche autour de ma grosse queue. Je jouissais sur l’émail. Blanc sur blanc. Je me répugnais. Il y avait cette fille que je voyais à l’époque, Tania ou Tina, enfin, un truc dans le genre. Je fermais les yeux en la baisant, j’imaginais Christine, cheveux délassés, ses mains jouant avec ses seins mats. Et j’accélérais la cadence, de plus en plus fort jusqu’à ce que Tania ou Tina hurle. Je n’allais plus très bien.
    
    Ma vie me frustrait. Pas d’épouse. Pas de famille. Des conquêtes de seconde zone, l’approche de la cinquantaine, un peu de bide, trop de cigarettes, calvitie engagée. Je me disais « Freine sur la boisson », je me disais « Freine sur les médocs ». Mais bon, il faut bien vivre hein et que serait cette chienne ...
    ... d’existence sans les excès ? Je voyais un psy pour la forme. Mais je doute avoir jamais compris le cheminement d’une analyse. Voilà, ma vie allait doucement vers son crépuscule, sans joie autre qu’un bon whisky, qu’un match de foot ou qu’un cul pas trop abîmé, lorsque le destin plaça sur mon chemin un étonnant carrefour.
    
    Un matin, j’arrivais tôt à l’agence, pas par amour de mon métier mais parce que je n’avais pas dormi de la nuit. J’essayais de me sevrer des anxios et j’avais fait une méchante remontée de tension. Le genre qui vous cloue au lit avec le palpitant dans les tours. Bref, crevé, la mine hagarde, j’ouvris ma boîte mail professionnelle maugréant sur quelques dizaines de mails rouges qui s’accumulaient depuis quelques jours. Je n’étais pas concentré. Café. Je me levai, passai devant le bureau de Christine, m’attardai un moment devant son bureau, et constatai ébahi qu’elle avait laissé son PC en veille sans l’éteindre, son profil et sa boîte mail ouverte. Je jetais un œil à ma montre, j’avais bien trente minutes devant moi avant que les premiers employés arrivent.
    
    Les mails. Qui défilaient. Beaucoup. Des professionnels. Des personnels. À son mari. À des amies. À un homme du nom de Marc. Marc encore. Marc encore. Marc encore. Mes antennes chauffaient dangereusement. Le management, ça déforme l’esprit. L’alcool aussi. Je cédai.
    
    Je suis au bureau. J’ai envie de toi.
    
    Dis-moi ce que tu portes, ça me rend dingue.
    
    Je sais que tu as des remords. Paul est mon ami. ...
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