1. Vive la Normandie


    Datte: 10/06/2018, Catégories: fh, 2couples, couplus, cocus, Collègues / Travail piscine, campagne, Oral pénétratio, fsodo, échange, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... des ficelles passant sur les hanches, et ce soutien-gorge qui ne fait que soulever ses seins, laissant les tétons darder de ses lobes arrondis, sont des merveilles. Son cavalier a déjà perdu sa chemise et les poitrines se cherchent.
    
    Lise et moi devons relever le défi, et j’ai l’agréable surprise de découvrir que ma cavalière est en accord avec l’ambiance. Je reconnais sur elle l’ensemble que j’ai offert à ma femme pour je ne sais plus quelle occasion. Slip et soutien-gorge rouges, largement fendus dans une perversité folle et qui sont le parfait exemple de l’érotisme. L’érotisme et la sensualité des seins juste maintenus par un disque de tissu qui laisse le téton et la plus grosse part de la chair gonflée visible. Érotisme et sensualité de cette fente déjà brillante qui tranche sur le triangle rouge largement découpé.
    
    Les femmes rient de notre découverte. Robert et moi échangeons des regards complices, et tout en regardant la cavalière de l’autre, nos mains explorent le corps nu, chaud et provoquant de celle que la danse amène contre nous.
    
    Anne entraîne son cavalier vers le canapé. Alors qu’elle reste avec ses dessous, elle le déshabille, le pousse vers le siège et entreprend de s’occuper de son sexe déjà bien raide.
    
    Moi, je reste avec Lise et pendant que nous dansons, chacun joue avec l’autre. Il m’est facile de caresser sa chatte par l’ouverture du slip alors qu’elle est obligée de batailler avec les ceintures et élastiques qui gênent son approche. Elle prend ...
    ... le taureau par les cornes et libère mon pieu après avoir fait sauter mon pantalon et son complice, le slip.
    
    Mes doigts glissent dans son conduit pendant qu’elle me branle. Il suffit que je fléchisse légèrement les jambes, et par une lente remontée ma bite entre en elle pendant qu’elle m’accompagne en descendant un peu. Nous sommes collés l’un à l’autre, reliés par une cheville de chair pendant que nos lèvres se soudent. La position n’est pas stable, aussi je me dégage, l’entraîne vers le canapé et la fait se placer en appui contre le dos du siège, pour aussitôt me glisser en levrette dans sa chatte. Elle est juste à côté de son ami que ma femme déguste toujours, et il suffit à Robert de tourner son visage pour se trouver face à celui de Lise.
    
    Maintenant, je réalise vraiment mon envie de posséder cette femme. Je me sens puissant, conquérant, alors que je la baise avec entrain, mes mains bien accrochées à ses hanches pour lui éviter de basculer en avant. Son compagnon a renoncé à l’embrasser devant mes assauts, mais il la regarde et j’espère que son visage reflète tout le plaisir que je lui donne.
    
    Ma femme abandonne la queue maintenant raide, tendue et luisante de sa salive. D’un geste, elle commande à son amant de quitter le canapé pour qu’elle s’y installe à genoux, lui offrant comme une évidence sa croupe pour la saillie. Mais, appuyant la tête sur le dossier, elle tend ses bras en arrière pour que ses mains viennent écarter ses fesses et nous offrir le plus sexy des ...