1. Vive la Normandie


    Datte: 10/06/2018, Catégories: fh, 2couples, couplus, cocus, Collègues / Travail piscine, campagne, Oral pénétratio, fsodo, échange, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... garder le contrôle ». Ce n’est peut-être pas tout à fait le cas de mon patron qui décide d’aller faire une sieste après le repas, me confiant à son épouse.
    
    J’aide celle-ci à débarrasser, la fille ayant disparu. Anne éprouve le besoin d’excuser son mari qui « décompresse » de sa semaine. Bien sûr, je compatis et, faux cul, reconnais la charge écrasante de travail que son mari doit gérer à l’entreprise. C’est d’ailleurs vrai que Thomas n’est pas le dernier arrivé ni le premier parti.
    
    Quelques minutes suffisent pour tout ranger et la femme me propose de nous retrouver au bord de la piscine, « à moins que, vous aussi, vous souhaitiez vous reposer ». Bien sûr, j’opte pour la piscine et quelques minutes plus tard nous profitons de ce soleil printanier confortablement installés dans des transats. Nous parlons de choses et d’autres. Mon hôtesse s’intéresse beaucoup à ma vie sentimentale et je ne suis même pas choqué de son indiscrétion.
    
    Sa fille vient nous rejoindre mais s’installe, toujours boudeuse, un peu plus loin. Bien sûr, j’ai remarqué son arrivée et profité de la vue que son topless propose.
    
    — J’espère que cela ne vous choque pas que Sophie s’expose ainsi. Elle aurait pu vous demander votre autorisation, dit la mère en suivant mon regard.
    — Pas du tout. Mon amie aussi se fait bronzer ainsi. En plus, la plastique de votre fille n’est pas faite pour offenser les yeux d’un homme.
    
    C’est à la poitrine généreuse et ferme de la jeune femme que je fais allusion. Et ...
    ... j’ajoute :
    
    — Si vous souhaitez faire de même, je vous en prie. Faites comme vous avez l’habitude.
    
    En souriant et rajustant son haut de maillot de bain triangle, elle me répond :
    
    — Non, merci. Je n’ai jamais pu le faire. Un reste d’éducation, sans doute !
    — Oh, il ne faut pas le regretter. Quelquefois, deux morceaux de tissu sont des écrins qui mettent en valeur ce qu’ils sont censés cacher.
    
    Comme je la regarde tirer sur les triangles qui ont bien du mal à recouvrir ses seins, elle s’arrête pour dire :
    
    — Oh, Robert, vous êtes un coquin ! Vous allez me faire rougir.
    
    Je continue.
    
    — Quel âge a votre fille ?
    — Vingt-deux ans ; pourquoi ?
    — Vous l’avez eue très jeune : on dirait votre petite sœur.
    
    Les femmes sont toujours sensibles à ce type de compliment. Et c’est la femme de mon patron ; alors autant la mettre dans ma poche.
    
    — Robert, vous êtes un coquin,et un flatteur !
    
    Mais elle ne me dit pas son âge. Ma remarque a fait son effet. Cependant, pour ne pas franchir la limite invisible de sa pudeur, je change de sujet et l’entreprends sur la beauté de la région. Elle m’en vante le charme, et soudain lance à sa fille :
    
    — Sophie, tu devrais emmener notre invité faire un tour à vélo.
    
    On ne peut pas affirmer que cette demande enchante la fille, mais elle accepte tout de même. Quelques minutes plus tard nous voilà sur les sentiers, mon guide – pas vraiment bavard – pédalant devant moi. Au bout d’un moment, elle rouspète sur ses pneus manifestement ...
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