1. Vive la Normandie


    Datte: 10/06/2018, Catégories: fh, 2couples, couplus, cocus, Collègues / Travail piscine, campagne, Oral pénétratio, fsodo, échange, Auteur: VincenLise, Source: Revebebe

    ... C’est donc totalement inondés que nous avons fait le chemin du retour.
    
    Trempés, gelés, c’est ainsi que nous revenons. Même la maison paraît froide. Heureusement, j’ai toujours un feu prêt à être allumé dans la cheminée. Le temps qu’Anne aille nous chercher des serviettes, le feu démarre et j’ai servi un calva pour nous réchauffer.
    
    Nous offrons un spectacle affligeant.
    
    Affligeant peut-être, mais pas dénué de sensualité. Les femmes surtout, dont les chemisiers trempés font comme une seconde peau, révélant le charmant spectacle de leur poitrine heureusement libre de soutien-gorge. Charmant spectacle aussi que ces shorts déjà serrés, que l’eau semble avoir rétrécis et collés au pubis et aux fesses. Mais nous, les hommes, sommes dans le même état ; et si les tétons des femmes pointent, que dire de nos verges rendues pas tout à fait innocentes par ce que nous voyons ?
    
    Nous avons l’air un peu emprunté, même si des sourires sont visibles. C’est Anne qui nous libère. Me tendant une serviette elle me dit :
    
    — Tiens, sèche Lise avant qu’elle ne s’enrhume.
    
    Et dans le même mouvement, elle donne une autre serviette à Robert en se plaçant tout près de lui. Chacun commence à sécher sa voisine, d’abord sagement, puis plus audacieusement, d’autant qu’Anne, toujours bien inspirée, lance :
    
    — On va attraper la mort si on garde ces habits mouillés.
    
    Et elle commence à dégrafer son chemisier.
    
    — C’est tout collé… Robert, aidez-moi.
    
    Vous pensez bien qu’il ne se fait ...
    ... pas prier et qu’en un instant ma femme est nue. La serviette ne cache pas grand-chose d’elle, et il est évident que l’homme sèche plus longuement certaines zones.
    
    — À vous ! dit-elle.
    
    Elle aide Robert à se déshabiller, et c’est elle qui promène la serviette sur son corps nu ; mais il ne peut pas dissimuler une érection, bien naturelle dans ces circonstances. Lise et moi les regardons, sans vraiment bouger, si ce n’est que je sèche le bas de son dos avec insistance.
    
    C’est Anne, encore une fois qui relance :
    
    — Regardez ces deux statues ! dit-elle à Robert en nous montrant. Venez, on les intimide.
    
    Et elle l’entraîne un peu plus loin dans la pièce pour s’installer sur le canapé.
    
    Ils ne sont pas loin, pourtant nous oublions leur présence. Je découvre le corps charmant et sensuel de cette femme dont une vision fugitive a suffi pour me séduire. Bien vite, moi aussi je suis nu, avec une belle érection que – j’espère – elle va prendre comme un compliment. Nous sommes face à face et je penche mon visage vers le sien. Mes lèvres touchent les siennes et elle ne se dérobe pas. Nos langues s’apprivoisent, jouent, mais bien vite ne suffisent plus. J’écrase mon corps contre le sien alors que ses mains pressent ma nuque pour mieux nous dévorer. Mes mains descendent vers ses reins, mais ne font qu’accompagner le mouvement du bassin qui vient masser ma verge de plus en plus rigide. Elle est un peu plus grande que moi et ce doux massage ne fait que me guider vers sa chatte. Il ...
«12...101112...17»