La gérante de la galerie d'art (14)
Datte: 25/01/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Docsevere, Source: Xstory
... champagne coule à flot, on remplit souvent sa coupe, elle a un peu la tête qui tourne. Elle a la sensation que les hommes et les femmes virevoltent autour d’elle, dans une lumière de plus en plus tamisée.
Puis soudain elle sent un regard sur elle, un regard qui la met mal à l’aise, et qui s’approche. C’est une femme, la soixantaine, belle et d’allure sévère, brune, cheveux courts. Sa robe brille et lui colle au corps, rouge sombre, rutilante, brillante, d’un tissu étrange qui fait l’effet d’être du lycra.
Elle porte des manches courtes et de longs gants de cuir noirs.
Quand Jenna baissera les yeux elle découvrira avec effroi qu’elle tient en laisse une jeune femme à demi-nue, harnachée de cuir et de métal, et qui se déplace à quatre pattes.
Elle se place face à Jenna, son visage à quelques centimètres de son visage. Ça la met très mal à l’aise mais elle n’ose bouger. Elle voit qu’elle est très maquillée. Elle sent son souffle sur elle. Ses yeux sont bruns, beaux mais très durs.
Elle apprendra ensuite que c’est la maîtresse de maison.
D’un doigt elle soulève son menton et garde ainsi le visage droit, la tête redressée.
Il y a un long silence, puis elle ...
... murmure un « hmmm » puis, d’un ton très froid :
« - Comment t’appelles-tu ? »
« - Je suis… Jenna » murmure-t-elle timidement
« - Jenna… c’est un prénom, ça ? Un prénom de chienne… un prénom de petite pute… ! » mot qu’elle lui crache presque à la figure avec mépris.
Elle pense qu’elle est déjà en train de s’éloigner, mais en un clin d’œil elle est dans son dos, lui a saisi les poignets qu’elle lui maintient fermement, la réduisant à l’impuissance pour lui montrer sa force et lui rappeler la future condition de soumise. Puis elle lui dit d’une voix calme, tout près de l’oreille :
« - Ta robe est démodée. Tu veux jouer aux grandes dames, mais au mieux tu es une nouvelle riche qui veut jouer à la bourgeoise. »
Elle ricane : « tout à l’heure je me repaîtrai de tes cris quand je te ferai sodomiser à la chaîne par tous les hommes présents ici…
Ah, et d’ailleurs, j’ai deux dobermans dressés à ça, je les ferai passer en premier… Désolée d’avance s’ils griffent tes bas et tes bottes de garce ! »
Elle la lâche et son mari intervient, souriant d’un air faussement débonnaire :
« - Oh Theresa, laisse-la voyons. C’est une amie de D., et tu vas l’effrayer. »
(A suivre…)