1. Aurélie 4


    Datte: 09/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... savoir en train de me regarder, m’humiliait et m’excitait à la fois. Je faisais courir mes doigts sur ma fente, titillais mon clitoris, et bientôt, je sentis la jouissance monter.
    
    - Arrête, me lança-t-elle durement.
    
    Frustrée, je m’arrêtai, laissant mes bras retomber le long du corps. Mes cuisses écartées lui laissaient voir ma chatte trempée et mon clitoris rouge de désir. J’attendais le non vouloir de ma maîtresse pour recommencer.
    
    - Recommence, me lança-t-elle, goguenarde.
    
    Je recommençai à me caresser. Une nouvelle fois, elle m’arrêta juste avant la jouissance. Je me mis à pleurer de frustration. Ma maîtresse n’en eut cure, puisqu’elle me fit recommencer et cesser au moins trois fois. J’en tremblais d’envie de me libérer enfin.
    
    - Finis-toi, me dit-elle enfin.
    
    De peur qu’elle ne m’arrête encore, je pinçai fortement mon clitoris en enfonçant ma main le plus profondément possible dans mon vagin. Un orgasme fulgurant monta en moi et je hurlai à mon tour mon plaisir. Je sentis un liquide gicler de ma chatte et aller s’écraser sur mes pieds. Jamais encore je n’avais ressenti un tel plaisir. Il me fallut bien cinq minutes pour émerger. De mon orgasme. Ce fut la voix de ma maîtresse qui me fit revenir à la réalité.
    
    - Eh bien, ma salope, tu t’es vraiment laissé aller. Maintenant, tu n’as plus qu’à nettoyer.
    
    Je me redressai sur les genoux pour constater qu’une mare de mouille souillait le sol à mes pieds, et une autre, moins importante, s’étalait à une ...
    ... cinquantaine de centimètres de là. J’allais me diriger à quatre pattes vers la cuisine pour chercher une serpillère, lorsque Véronique m’arrêta :
    
    - Non, non, pas de serpillère. Tu vas nettoyer tout cela avec ta langue. De toute façon, cela sort de toi, c’est normal que cela y retourne, n’est-ce-pas ?
    
    - Oui, maîtresse.
    
    Je m’approchai avec circonspection de la plus petite flaque. Si j’avais déjà goûté la mouille de ma maîtresse, je n’avais jamais léché la mienne. Je me penchai et humai la flaque. Une douce odeur, un peu plus forte que celle de Véronique me parvint aux narines. Je passai la langue sur le liquide et avalai. Le goût de ma cyprine était aussi plus fort, plus poivré que celui de ma maîtresse, mais pas désagréable. Je me mis à lécher avec entrain, d’abord la petite flaque, puis la grande. Il me fallut bien dix minutes pour tout nettoyer. Je ne sentais plus la brûlure des coups de cravache.
    
    Lorsque j’eus terminé ma tâche, ma maîtresse me ramena à mon réduit, rattacha la chaîne et fixa mes bracelets de poignets près de mon cou.
    
    - Ainsi, dit-elle, tu n’auras pas la tentation de te branler. Je veux que tu sois prête pour demain soir.
    
    Et elle me laissa seule, fermant la porte du cagibi. Restée seule, je me mis à réfléchir. Que de changement dans ma vie depuis quelques temps. En un mois et demi, j’étais passée de bourgeoise frigide et rigide, à salope soumise et très docile. En si peu de temps, j’avais sucé un homme – Franck – avalé son sperme, je m’étais faite ...
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