1. Aurélie 4


    Datte: 09/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... arriva, je hurlai de douleur, mais réussi à ne pas rompre la position. A trois autres reprises, la lanière cingla mon ventre, entre la base de mes seins et mon pubis.
    
    - Voilà, c’est terminé. Suis-moi !
    
    - Merci, maîtresse, d’avoir si bien fouettée la salope que je suis.
    
    Des larmes plein les yeux, je suivis ma maîtresse. Tout mon corps me faisait mal, mais j’avançai jusqu’au canapé où elle s’assit. Là, elle retroussa sa jupe et écarta les cuisses. J’avais sous mon regard sa culotte humide d’excitation, excitation de m’avoir corrigée. Malgré moi, je déglutis et je sentis ma chatte palpiter. Dieu que cette femme m’excitait. Je me damnerais pour elle. Voir ses cuisses blanches, au-dessus de ses bas et cette culotte rose dissimulant de moins en moins sa chatte aux lèvres si bien ourlées, au fur et à mesure de la montée de son excitation, me rendait folle de désir. Pourtant, il fallait que j’attende son ordre. Elle me fit signe de m’approcher et me stoppa lorsque mon nez toucha le fin tissus qui cachait ses trésor. Je humai l’odeur poivrée de ses effluves intimes et mon ventre se crispa d’impatience et de désir. Vicieuse, Véronique se frotta la culotte contre mon visage. L’humidité de son sous-vêtement mouillait mon visage, accentuant mon désir, ma frustration. Enfin, elle me dit, en se replaçant sur le siège :
    
    - Fais ton travail, Cybèle.
    
    Je ne me le fis pas dire deux fois. J’écartai le tissu qui me gênait et passais la langue sur ses nymphes gonflées. Elle cambra ...
    ... les reins pour accentuer la caresse. Bientôt, ce ne fut plus que des gémissements de sa part. Ses coups de reins plaquaient sa chatte sur mon visage, m’empêchant parfois de respirer. Toutefois, cela ne m’empêchait pas de laper comme une jeune chienne, toute la liqueur s’échappant de son intimité. Je donnais des grands coups de langue à l’entrée de son vagin, puis, plus délicatement, je titillais son clitoris qui grossissait sous l’effet des caresses. Elle haletait de plus en plus fort, jamais encore je ne l’avais vue comme cela. Lorsque la jouissance la prit, elle hurla son plaisir et, me saisissant la nuque, me plaqua contre sa chatte. Elle donnait des coups de ventre désordonnée, me maculant le visage de son plaisir, m’étouffant contre son pubis. Pourtant, je n’aurais laissé ma place pour rien. Je n’étais pas peu fière du plaisir que je donnais à ma maîtresse.
    
    Enfin, elle se calma et relâcha ma tête. Je sentais qu’elle me fixait d’un regard trouble. C’est d’une voix rauque qu’elle me demanda :
    
    - Cela t’a plu, salope ?
    
    - Oui, maîtresse, j’aime vous donner du plaisir, j’aime votre goût et votre odeur.
    
    - Tu as envie de te branler ?
    
    - Oui maîtresse, j’ai envie de jouir !
    
    - Allonge-toi sur le dos, écarte les cuisses.
    
    J’obéis aussitôt et lui offrit la vue de ma chatte trempée, de mes cuisses humides.
    
    - Eh bien, dis donc, ma salope, tu es trempée. Vas-y, branle-toi !
    
    Sans la regarder, je glissai mes doigts vers ma vulve et commençai ma masturbation. La ...
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