1. Aurélie 4


    Datte: 09/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Grandpervers, Source: xHamster

    ... me précipitai dans le dressing et revint avec les chaussures demandées. Je les lui passai, sans manquer de caresser les chevilles de ma maîtresse.
    
    - Je te plais ? demanda-t-elle en se levant et en tournant sur elle-même, dévoilant très haut ses cuisses gainées de nylon.
    
    - Oh maîtresse, vous êtes si belle !
    
    - Allez, suis-moi. Je dois m’en aller et je ne veux pas te laisser déambuler dans l’appartement.
    
    Je la suivis servilement et elle m’emmena dans ma chambre. Là, elle sortit de l’armoire une chaîne d’une longueur de trois mètres environ. Elle passa un cadenas à l’anneau de mon collier et le ferma sur le premier maillon de la chaîne. Elle passa l’autre extrémité de la chaîne autour de la barre du lit et ferma un autre cadenas. Ainsi, j’étais reliée au lit et je n’avais que trois mètres de libre. Ensuite, elle fixa les mousquetons de mes bracelets à mon corset et je fus immobilisée, les poignets au niveau de la taille. Pour terminer, elle me fit ouvrir la bouche et me mit un bâillon-boule. Elle sortit de la pièce et revint avec un seau hygiénique, qu’elle posa dans un coin.
    
    - Voilà, tu seras bien. Si tu as envie de pisser, sers-toi du seau. A tout-à-l’heure.
    
    Elle sortit dans un grand éclat de rire et j’entendis bientôt la porte d’entrée se fermer. Je demeurais seule, ligotée, coincée dans quelques mètres carrés. Le temps passa très lentement. Au bout d’un moment, je n’eus d’autre solution que celle de m’étendre et je finis par m’endormir. Le bruit de ...
    ... la clé dans la serrure et le porte qui s’ouvrait me réveilla.
    
    Elle attendit près d’une demi-heure avant de venir me libérer. Elle me fit me pencher sur le lit et déverrouilla la ceinture. Elle eut quelques difficultés à retirer les godes enfoncés en moi. Je ne pouvais me retenir de geindre, tant la douleur était forte. Plus encore celle qui irradiait de mon anus.
    
    - Ton trou est tout rouge, me dit-elle, je crois qu’il va falloir surseoir à cette sodomie. Ne bouges pas, je vais te soigner. Il doit bien y avoir quelque chose dans la pharmacie.
    
    Elle revint quelques instants en plus tard avec un tube de pommade dont elle m’enduisit l’anus. Une fraîcheur bienfaisante, suivie d’une disparition de la douleur se fit bientôt.
    
    - Je crois que ton cul a besoin de repos. De plus, il va falloir trouver autre chose. On ne peut plus te boucher en permanence. Je ne pensais pas en arriver là, mais c’est la seule solution. Je vais te faire anneler la chatte.
    
    - Anneler, maîtresse ?
    
    - Oui, je vais te faire poser des anneaux aux lèvres qui pourront être reliés ensembles pour empêcher toute pénétration vaginale.
    
    - Comme il vous plaira, maîtresse.
    
    - Bien sûr que cela me plait. N’oublie pas ton acte de soumission.
    
    - Je ne l’oublie pas, maîtresse.
    
    - Bien, je vais prendre contact avec un cabinet de piercing et un tatoueur. Au fait, je vais organiser une fête samedi, avec quelques personnes de ta connaissance. Tu devras leur faire honneur. Je compte sur toi.
    
    - Bien ...
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