1. Mesdames , mes belles conquêtes


    Datte: 08/06/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Ammoula, Source: Hds

    ... montra des dessous féminins . Puis , elle s’est mise à lui caresser le flanc . La bonne dame ne dit rien et sortit avec la promesse de revenir le lendemain car elle était gênée par la présence de son mari .Le lendemain , elle revint. C’était une autre femme .Elle sentait bon le parfum qu’elle avait acheté la veille et Meriem alla droit au but . « Vous voulez que je ferme la boutique ? » lui dit-elle . La femme acquiesça et Meriem lui dit que ça ferait dix mille dinars pour l’heure qu’elle passerait avec elle . La bonne femme était d’accord et paya de suite . Meriem se déshabilla et enlaça la femme qui avait l’air un peu surprise . Mais après la surprise , ce genre de femmes trouvent l’extase dans les bras d’une autre femme . « J’aimais les femmes et je sentais que les femmes aussi, alors pourquoi ne pas en faire un commerce . »m’annonça-t-elle doucement .Elle me demanda, alors, si après tout ce qu’elle venait de me raconter , je pouvais continuer à l’aimer . Je répondis que son passé m’intéressait avec toutes ces aventures qui auraient pu se produire chez moi mais que j’était bête et que je la remerciais pour avoir éveillé en moi cette fibre sensuelle et que plus jamais un homme ne me toucherait et que je voudrais m’allonger , moi aussi , dans son arrière-boutique. Elle en fut heureuse , me fixa un rendez-vous pour le lendemain, chez moi mais c’était impossible car mon fils n’avait pas cours et restait à la maison pour préparer ses examens Elle me souhaita une bonne nuit , ...
    ... pleine de beaux rêves où elle devait être présente et me promit de m’appeler .En raccrochant le téléphone , je mis ma main dans mon entre jambe pour m’apercevoir que ma cyprine dégoulinait . Et je me mis à me dire que j’avais 48 ans et qu’aucun homme , à part mon frère , n’avait réussi à me mettre dans cet état . J’allais dans la cuisine , cherchai un joli concombre dans le frigo , le passai sous l’eau chaude , l’essuyai et me mis au lit . Je le suçai d’abord abondamment pour le saliver et l’introduire dans mon vagin qui dégoulinait encore .J’avais la sensation d’être déflorée par un sexe d’âne . Et en pensant à l’âne , j’eus un sourire parce que , tout simplement , je venais de faire un pied de nez à tous les hommes .C’était bon et il glissait parfaitement bien dans ma fente, ce sexe d’âne . En moins d’une minute, il m’apporta le plaisir que jamais aucun homme ne m’avait apporté .De ma table de nuit , je pris une serviette pour essuyer cette douce cyprine qui m’envahissait et je m’endormis en priant dieu qu’elle ne s’assèche jamais et que ma douce Meriem m’aime pour la vie . Je dormais en souriant à l’idée de penser à cette douce Meriem qui , malgré son âge , était fort appétissante . Je dormais en pensant à toute une vie perdue avant de découvrir mon homosexualité. Je dormais en pensant à cette envie que j’ai toujours eue d’aller au hammam, pas pour me laver , mais pour me rincer l’œil auprès de ces pucelles qui accompagnaient leurs mamans et qui, faisant mine de ne pas s’en ...
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