1. Mesdames , mes belles conquêtes


    Datte: 08/06/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Ammoula, Source: Hds

    ... cette étreinte. Elle ma raconta qu’elle avait assisté à mon mariage et que durant, toute la soirée , elle n’avait pas réussi à détacher ses yeux des miens sans savoir pourquoi . Du moins , elle avait eu un coup de foudre pour moi . Elle me le dit en souriant comme pour me montrer que ce n’était pas réellement le coup de foudre . Et puis , nous ne nous sommes plus revues .Elle était belle et en parlant, elle était encore plus belle . Je sentais que j’étais en train de tomber amoureuse et pour me détacher de son étreinte , je feignis aller chercher des rafraichissements . Alors , elle insista pour que je reste encore près d’elle . Il n’y avait personne à la maison et l’après –midi s’annonçait bonne pour une séance d’embrassade si elle avait osé faire le premier pas . Moi , j’avais peur de franchir l’instant fatidique . D’un doigt , je sentais qu’elle caressait , tant bien que mal , la peau de ma main comme pour me faire signe de plonger sur elle . On se regardait , si proche l’une de l’autre , les yeux dans les yeux . Je voyais qu’elle avait souligné discrètement la paupière inférieure de ses yeux . C’est ce qui les rendait encore plus beaux et faisait ressortir l’émeraude de chaque œil et j’en suis vraiment tombée amoureuse . Puis , sans me lâcher , elle réussit à voir l’heure sur son poignet et me dit qu’il fallait qu’elle s’en aille avec des promesses de se revoir . Elle n’hésita pas à me serrer contre elle pour poser sa joue contre la mienne et je sentis le chaud monter en ...
    ... moi . Elle sentait bon .Elle se leva et ses genoux se couvrirent de sa robe . Je l’accompagnai à la porte d’entrée et les yeux larmoyants , elle m’embrassa chaleureusement sur les deux joue , sa bouche encore plus proche de la mienne et ses seins bien appuyés contre les miens , durs , aussi durs que les miens que j’avais sentis excités depuis qu’elle m’avait serré contre elle .Elle s’en alla me laissant avec un gout d’inachevé qui ne me quitta pas alors qu’elle montait dans sa voiture .Dès qu’elle disparut , je me précipitai dans le salon pour m’asseoir à sa place . Son parfum vaquait encore sur le divan et j’eus chaud entre les cuisses .Je relevai ma robe , j’ôtai ma culotte mouillée et je me mis à caresser ce gros clitoris que j’avais et qui était si excité .Je me voyais en train de l’embrasser et, elle, de me caresser jusqu’au moment où une cascade de cyprine coula sur mes cuisses et sur le divan. Mes mains en étaient trempées et je les suçais sans en perdre une goutte .Toute la soirée , je ne réussis à me défaire de son visage , de ses beaux yeux , de sa belle bouche qui m’avait si bien embrassée sans que je ne réagisse .La nuit avait été longue et à plusieurs reprises , j’abandonnai le désir de l’appeler , d’entendre sa voix , de lui fixer un rendez-vous le lendemain dans ma chambre et non dans le salon .La tentation était trop forte mais je dus y renoncer à contrecœur .
    
    Au matin , le téléphone retentit . Mon cœur se mit à battre la chamade . Mon fils dormait encore . ...
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