Fausse manip. IPV1
Datte: 07/06/2018,
Catégories:
ff,
cocus,
Oral
jouet,
confession,
Auteur: Roby, Source: Revebebe
... satisfaits, je vois la femme bondir, extirper de la mallette "Pour Lui" un gode bizarre avec une sorte de lanière. C’est en la regardant faire que je comprends. C’est un double. Elle en glisse une extrémité en elle, soit dit en passant qu’il entre comme une lettre à la poste, fixe les larges sangles autour de ses cuisses et de ses reins et la voici "mâle" en puissance. Excroissance étrange, saugrenue mais qui ne manque pas de piquant. Surtout qu’elle ne se place pas comme un homme sur une femme : non, elle glisse ses jambes dessus et dessous celles de Séverine, approchant la bite de la chatte en émoi et la glissant dans une lente reptation.
Quel spectacle étrange. Un enchevêtrement de jambes. Des mains qui se tendent pour en atteindre d’autres. Elles sont chatte contre chatte dans une totale impudeur, emportées par une folle envie bien partagée, l’une de posséder, l’autre de se faire prendre. Les ventres ondulent. Les cuisses se tendent. Le gode ne réapparaît que pour mieux s’enfoncer dans la grotte de ma salope de femme, femelle possédée par un ...
... autre.
C’est crû, contre nature, mais que c’est beau. Une certaine bestialité que nous hommes n’attendons pas de voir chez des amantes. Et pourquoi pas ! On les dirait reliées l’une à l’autre, chevillées par ce qui les possède, empalée sur un axe de bonheur. Les corps transpirent. Les visages exultent. Les lèvres se pincent. Les sons sont divers, obscènes, délicieux. Le plaisir est avec elles. La jouissance est partagée dans une communion grandiose. C’est beau, deux femmes…
Elles jouissent…
Les mains se quittent.
Les corps se relâchent.
Le gode réapparaît.
Les ceintures libèrent la baiseuse.
Le double gode brille de sécrétions.
Merde, on frappe. Je n’ai que le temps d’éteindre la tablette.
— Je ne vous dérange pas ? me dit mon visiteur impromptu.
« Mais si, Ducon, tu me déranges. Je voulais voir la suite. Pendant que tu me saoules avec tes questions, j’imagine les deux femmes chez moi. Que font-elles ? Elles recommencent ? Elles se séparent ? »
Lorsque "Ducon" est parti, je retrouve le salon vide, bien rangé comme si rien ne s’était passé.