1. Fausse manip. IPV1


    Datte: 07/06/2018, Catégories: ff, cocus, Oral jouet, confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... offrir la mallette. Elle coûte combien ?
    
    Ma femme ! Un amant ! Je ne m’attendais pas à cela. Moi qui me sentais coupable. La garce ! La salope ! Arnaud ? Qui est cet Arnaud ? J’en connais plusieurs. À moins que ce soit un autre. Les enfoirés. Je vais éclater. Le micro marche dans les deux sens et si je parle, pas de doute qu’elles vont m’entendre dans le salon.
    
    Mais je me calme. Non, surtout ne pas montrer que j’ai espionné. Car, c’est ce que j’ai fait sans vraiment le vouloir, et cela n’aurait pas été grave, juste un souvenir, si rien d’important n’était advenu. Surtout ne rien faire. Me calmer. Je verrai plus tard. Mais tout de même quelle salope.
    
    — 190 €, répond Lisa. Mais je peux vous diminuer du prix de votre commission. Cela ferait 120 €.
    — Parfait. Je la prends.
    
    C’est bien ma Séverine, la mère de mes enfants, ma femme que j’ai respectée pendant tant d’années alors que j’avais envie de briser certains tabous, mais je n’ai pas osé, qui parle ainsi ? Oui, ma femme, cette… beauté aguicheuse… parée de lingerie indécente, qui achète un cadeau à son amant. Un amant ! Mais qui ? Et que peut-il y avoir dans cette mallette pour que cet Arnaud, manifestement dominateur, puisse apprécier ?
    
    — Vous savez, ce n’est pas parce que j’ai un amant que je n’aime plus mon mari. Au contraire. Depuis que lui et moi avons notre sexualité ailleurs, l’amour a repris toute sa place. Bien entendu ce serait parfait si on pouvait rassembler sexe et amour ! Mais Pascal est ...
    ... trop bien élevé. Maintenant j’aurais du mal à me contenter de nos séances sexuelles, même si le plaisir était de la partie. J’ai goûté à plus fort. Et vous ?
    
    En deux phrases ma femme me réjouit et me crucifie. Elle m’aime. Moi aussi d’ailleurs et sur ce point notre séparation sexuelle a du bon. Elle avait du plaisir avec moi. Voilà les points positifs. Mais elle me crucifie avec les pratiques de son Arnaud, pratiques dont elle ne pourrait plus se passer. Voilà ce que c’est que de chercher à rester le mari parfait. Amoureux, prévenant, bon père de famille, délicat en amour, toujours à la recherche du plaisir de l’autre, de ne jamais passer l’étape des préliminaires.
    
    — Moi, quoi moi ? demande Lisa en réponse à la question de ma femme.
    — Oui, vous ? Un mari ? Un compagnon ? Un amant ?
    — Ah ! Pas vraiment.
    — Comment ! Vous êtes belle fille. Les hommes doivent se bousculer.
    — Oui mais ce n’est pas mon truc.
    — Comment ? Comment à votre âge on peut ne pas aimer l’amour. Le sexe et ses plaisirs. Avec le métier que vous faites, en plus !
    — Parce que je préfère les femmes !
    — Quoi ?
    — Vous voyez, je vous choque.
    — Non. Mais non. C’est juste que je suis surprise. Mais je n’ai rien contre… Merde, enfin, je veux dire que je ne juge pas… Merde je m’enfonce encore.
    
    Lisa rit de bon cœur. Séverine reprend :
    
    — Ce que je veux dire c’est que je suis heureuse pour vous. Ouf !
    
    Les deux femmes rient de ce moment de quiproquo.
    
    — Je peux vous poser une question ? dit ...
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