Anne-Élizabeth et le « phénomène cougar » - Histoires de Sexe

Anne-Élizabeth et le « phénomène cougar »

... de son torse musclé, de ses pectoraux délicieux tout en profitant de son damier abdominal parfait qu’elle touchait. C’était étonnant pour un jeune homme de son âge mais à vingt ans, Romain était une bombe sexuelle au masculin.

Au fur et à mesure des coups de reins que donnait Romain, elle se sentait s’envoler. Elle n’avait eu que peu d’orgasmes avec son mari. Cependant, elle découvrit toute la puissance d’une réelle jouissance lorsque l’énorme gland violacé de son jeune partenaire rentra une nouvelle fois dans son vagin. Elle hurla à en défier le voisinage, son corps tremblait, elle vibrait réellement. Romain décocha un sourire et continua à lui faire l’amour de plus belle.

Broyée de plaisir, Anne-Élizabeth avait encore ce sourire béat. Cependant, cette fois-ci, elle n’hurlait plus. Elle était noyée dans un océan de satisfaction.

Romain, quant à lui, continuait les mouvements de bassin, il avait posé les jambes de sa partenaire sur le lit et la prenait actuellement dans la position du missionnaire standard. Le jeune étudiant n’avait pas eu d’orgasme depuis plusieurs semaines et ses bourses étaient donc bien remplies. Lorsque vint le moment de jouir, il se retira, enleva la capote, et déversa un torrent de sperme sur le visage de la meilleure amie de sa mère. Il poussa un cri rauque, viril qui acheva la soirée. Anne-Élizabeth avala toute la semence de Romain sauf quelques gouttes sur le front qu’elle chassa avec sa main. Les deux amants se regardèrent, essoufflés ...

... mais comblés.

Peu de temps après, le jeune homme s’était allongé sur son lit, il avait remis son boxer. Son hôtesse vint se caler sur ses pectoraux parfaits. Romain sentit une larme couler des yeux d’Anne-Élizabeth qui arriva pile sur son téton.

— Anne-Élizabeth, tout va bien ? dit-il d’un air inquiet
— Tout va très bien, Romain. Je suis tout simplement heureuse d’avoir retrouvé une petite part de ma féminité aujourd’hui.
— Tu ne l’as jamais perdue, tu sais.
— J’en doutais fort jusqu’à ce soir Romain.
— Tu sais Anne, j’ai réellement apprécié ce moment et…
— Et ? dit Anne d’un air taquin.
— Si tu veux recommencer, c’est avec plaisir que je te ferai l’amour.

Anne-Élizabeth fit couler quelques larmes de ses yeux. Elle était soit un monstre, soit une femme désespérée. Elle avait réussi à pervertir un pauvre jeune homme de lui faire l’amour alors qu’il avait la vie devant lui.

— Tu sais, les filles de ton âge seront plus à ton goût, dit Anne d’un air souriant, chassant les quelques larmes qui coulaient encore sur son visage.
— Aucune n’a le dixième de ton talent au lit, Anne, répondit Romain.

La mère de famille devint écarlate puis remit sa tête contre les pectoraux du meilleur ami de son fils. Ils s’endormirent calmement.

Les jours suivants, Romain et Anne-Élizabeth continuèrent leurs parties sexuelles intenses. Le lendemain de leur première fois, Romain prit sa partenaire en levrette, ce qui valut à la mère de famille deux orgasmes d’une plus grande ...