Anne-Élizabeth et le « phénomène cougar » - Histoires de Sexe

Anne-Élizabeth et le « phénomène cougar »

... inoubliable. À l’époque où elle était encore mariée, elle était particulièrement douée. Et en effet, Romain fit l’amère expérience de passer à quelques pas de l’orgasme lors de cette fellation.

— Anne, c’est génial… Mais je ne préfère pas jouir tout de suite, dit-il entre deux gémissements.

Anne-Élizabeth sourit puis enleva de sa bouche l’instrument de plaisir de Romain. Elle fut légèrement émue car elle comprit qu’il ne lui faisait plus l’amour pour protéger son secret mais parce qu’il était réellement excité par sa présence féminine. Et en effet, le bel éphèbe ne pensait plus du tout au chantage.

Les deux partenaires s’embrassèrent longuement sur le lit. Le torse musclé et imberbe de Romain tapa violemment les seins de Anne-Élizabeth, les corps se mélangeaient sans encore aucune pénétration.

— Par pitié, prends-moi Romain, dit Anne d’un air suffoquant.

Romain bondit hors du lit, ouvrit son sac et sortit une boîte de préservatifs « Sensation », il se coiffa d’une capote et revint vers la femme de sa soirée. Il l’embrassa et vint se mettre au bord du lit, devant le miroir de la chambre. Il invita à Anne-Élizabeth à le chevaucher.

La femme dans la force de l’âge vint s’empaler sur l’énorme verge de son amant. Elle était tellement satisfaite de ce moment qu’aucun son ne sortit de sa bouche. Anne-Élizabeth était contre lui et lui offrait sa poitrine jaillissante. Romain avait pris en main les fesses de sa partenaire et commençait à impulser des mouvements ...

... rapides et agiles tout en suçant les seins de son hôtesse avec délectation.

— Aaaaaaaah, mon dieu, ça fait une année entière que j’attends ça, dit Anne-Élizabeth, sautant véritablement sur le pénis de son jeune partenaire musclé.

Romain continua pendant de longues minutes, Anne-Élizabeth gémissait tellement que le niveau sonore devint rapidement très élevé. Dans un excès de confiance, il se leva, toujours avec Anne-Élizabeth empalée : il continua à lui faire l’amour debout. La position était incroyablement difficile à tenir et il décida de caler sa partenaire contre la porte pour continuer à la faire aller et venir sur son pénis bandé. Anne-Élizabeth hurlait, étonnée des ressources et des idées de son amant. Fatigué de cet effort physique intense, il revint vers le lit et se retira.

La femme mûre et son bel éphèbe sportif avaient la respiration courte, totalement happés par le moment qu’ils passaient ensemble. Anne-Élizabeth s’allongea sur le lit et proposa à son amant de venir la prendre dans la bonne vieille position du missionnaire. Romain s’exécuta mais mit les jambes de la femme mature sur ses épaules comme variation de la position standard. Il rentra à nouveau dans le vagin de sa partenaire et la fit décoller vers des horizons de plaisir intense. Anne-Élizabeth, allongée sur le lit, était incroyablement belle : ses seins pointaient, elle était heureuse et un grand sourire déformait son visage. La vue était incroyable, elle regardait son amant faire en se délectant ...