1. La patronne


    Datte: 06/06/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, init, confession, inithf, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... esprits.
    
    — Alors, tu as bien vu ? Comment m’as-tu trouvée ? Tu as aimé ?
    — C’est merveilleux, j’en suis tout ébahi. Oh oui, j’ai aimé ! Tu es superbe. Comme c’est beau une femme qui jouit… On a l’impression qu’elle est prise par un esprit bienheureux qui la porte au paradis.
    — Comme tu dis bien ça ! Ne serais-tu pas un peu poète ?
    — Un peu. J’écris des histoires chaudes et tu me donnes l’inspiration. Jusqu’à maintenant, je me contentais d’imaginer ; mais aujourd’hui, je sais ce qu’est le plaisir. J’en suis tout chose.
    — Je vois. Ta bite est toute dressée et je sens qu’elle va me satisfaire ; mais avant, viens m’embrasser la chatte. J’aime les minettes, surtout quand j’ai déjà joui.
    
    Je me penche vers elle et pose ma bouche sur la fente humide de son jus qui coule lentement sur le drap. Les cuisses s’ouvrent pour me laisser tout l’espace puis se referment sur ma tête qu’elles tiennent serrée contre sa cramouille trempée. Je sens d’ailleurs son jus salé sur ma langue. Elle ne reste pas inactive et, ayant pris ma bite, elle s’amuse à l’affoler en donnant sur le gland de petits coups de langue de plus en plus appuyés. Alors, elle l’enfourne tout entière dans sa bouche et se l’enfonce jusqu’au fond de sa gorge. Je fais pareil avec sa moule : j’enfonce ma langue très loin dans son vagin tandis que mes doigts titillent son petit bouton.
    
    — Oh oui ! Ooooouh ! Que c’est bon ! Encooore ! Encooore ! Comme tu me suces bien… Tu me rends folle ! Je vais jouir ! Chéri, je vais ...
    ... jouir ! Ouiiiii ! Ça vient, ça vient ! Ouiiiii ! Je jouiiiis ! Je jouiiiis !
    
    Ses cuisses s’ouvrent, libérant ma tête, mais je laisse ma langue lécher la cyprine qui coule de sa moule.
    
    — Oh, que c’est bon, ta langue sur mon bouton ! Que j’ai bien joui… C’était merveilleux. Mais c’est ta bite que je veux. Chéri, mets-la-moi vite ! Viens me biter bien fort, viens me mettre ta belle bite dans ma moule trempée. J’ai envie, chéri. Oui, viens, j’ai envie ! Tu m’as bien excitée et tu vas me baiser avec ta grosse pine bien dure et pleine de ton foutre chaud.
    
    Ses paroles cochonnes m’excitent encore plus ; et c’est vrai qu’elle est dure, ma pine, dure comme un bâton et je vais la faire entrer dans une moule qui bave son jus sur le drap.
    
    — Oui, je vais te la mettre, je te l’enfoncerai bien loin. Comme ta chatte est belle, ainsi ouverte… Je vois ton clitoris gonflé.
    
    Elle pose sa main sur sa chatte et, du bout de son médius, elle chatouille son bouton.
    
    — Il est tout sorti de son étui, mon clito. Tu le vois ? Il est tout dur. Passe ta langue dessus une dernière fois et puis tu me donneras ta grosse bite bien pleine de ton jus de couilles.
    
    Elle m’attire sur elle, saisit ma pine et la pointe à l’entrée de sa grotte béante. Elle se frotte le clito avec le gland et, brusquement, je la pénètre d’un coup jusqu’au fond de sa moule. Elle pousse un cri puis se met à gémir.
    
    — Oh ! Quelle bonne bite ! Quelle bonne bite ! Elle m’emplit toute. Elle est bien dure. Comme je te sens ...
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