La patronne
Datte: 06/06/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
init,
confession,
inithf,
Auteur: Naipas, Source: Revebebe
... belle queue bien dure. Elle pourra faire l’affaire si tu en as bien l’envie ; parce que moi, je voudrais bien la garder pour moi.
Elle rit.
— Je suis folle et je rêve tout haut. Vas-y, lèche-moi la moule.
Je passe la langue sur la fente ouverte. Elle frissonne.
— C’est bon, ta langue… Fourre-la dans la fente et suce mon clito. Viens, ne restons pas ici. Tu es mal mis et tu risques de te faire mal. Allons dans ma chambre, nous y serons à l’aise pour nous aimer très fort.
Elle me prend le bras et nous allons dans sa chambre entièrement décorée de rose et de bleu roi. Avec, s’il vous plaît, un lit à baldaquin, comme au XVIIème siècle. Nous tombons ensemble sur le lit. Je la caresse doucement. Partant du cou, je descends lentement pour la toucher du bout des doigts sur le ventre, m’attardant au nombril, puis l’intérieur des cuisses, là où la peau est si douce qu’on dirait de la soie. Je frôle le sexe et remonte vers le ventre. Elle saisit ma main et la repose sur sa toison noire contre la fente rose qui s’ouvre soudain comme une fleur qui éclot. Et je vois. Une longue fente au sommet de laquelle jaillit une sorte de petit pois tout rond et presque rouge enfermé dans un petit étui mais qui semble s’offrir à la caresse de mes doigts. Elle se tortille dans tous les sens.
— Oh oui ! Oh, mon chéri ! Joue avec mon clitoris. J’adore quand on l’excite. Touche-moi, oui, touche-moi. J’ai envie. Regarde, je vais te montrer comment je fais quand je suis toute ...
... chaude.
Je retire ma main, qu’elle remplace aussitôt par la sienne. Je la regarde se caresser. Elle commence doucement avec son médius, écartant les lèvres de deux doigts de l’autre main. Son doigt monte et descend d’un mouvement régulier, faisant le tour du petit bouton sans le toucher puis, glissant le long de l’ouverture jusqu’à l’entrée du vagin, remontant vers le bouton pour le titiller du bout de l’ongle, redescendant plus bas, pénétrant dans le canal où il s’enfonce, sort et entre et sort tandis que l’autre main, plaquée sur le sommet de la fente astique de plus en plus vite le clitoris maintenant sorti de son étui.
— Regarde comme je me branle bien. Toi aussi, tu dois te branler mais ne te fais pas juter ; j’ai besoin de ton foutre car je sens que ma chatte va te faire une fête du tonnerre. Elle s’ouvre toute grande pour accueillir ton gros mandrin.
Ses reins ondulent et elle gémit doucement, soupire de plus en plus vite. Ses gémissements s’amplifient, deviennent des râles tandis que sa croupe se secoue sur le lit. Ses yeux brusquement se révulsent, sa respiration devient un halètement alors que ses doigts entrent et sortent rapidement du vagin et que l’autre main frotte le clito devenu violacé. C’est l’explosion. Elle s’arc-boute et en poussant un cri aigu, puis retombe sur le lit. Je suis stupéfait. Je viens de voir une femme se faire jouir devant moi et je n’ai rien osé faire. Ma bite est tendue comme jamais et je suis prêt aussi à jouir. Lentement, elle reprend ses ...