1. La patronne


    Datte: 06/06/2018, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral 69, pénétratio, init, confession, inithf, Auteur: Naipas, Source: Revebebe

    ... partout. Si tu savais comme ma chatte est heureuse !
    
    Nous restons ainsi un bon moment à savourer comme un délicieux bonbon les suites du plaisir que nous nous sommes donné. Céline a posé sa main sur ma bite et cherche à lui redonner sa vigueur. Mais j’ai besoin de reprendre un peu de forces si je dois lui faire l’amour une autre fois avant de partir. Nous ne bougeons plus ; sa main glisse sur le drap. Elle s’est endormie.
    
    Je suis rentré très tard chez moi, heureusement sans remarque. Le lendemain, Céline m’attendait avec un bon café et des croissants. Elle me sauta au cou, m’enlaçant et m’embrassant passionnément. Je sentais son corps nu sous sa petite robe à fleurs car elle poussait son pubis pour que je sente qu’elle avait envie de recommencer. Ce que nous avons fait tout de suite. Elle avait fermé l’entrepôt, prévoyant ce que nous allions faire. Ce fut une matinée pleine de sexe, de cyprine et de foutre, de bite et de clitoris gonflés. Je ne sais plus combien de fois elle a joui. Quand midi sonna, nous étions toujours au lit à nous aimer.
    
    — Je suis heureuse, me dit-elle, je reprends goût à l’amour et tant pis si je pourrais être ta mère. J’ai envie de toi car tu m’as redonné l’amour de mon corps. J’ai plaisir à me caresser devant toi parce que tu apprécies de me voir jouer avec mes seins et ma chatte, à pincer mon clito, à enfoncer mes doigts dans ma moule toute chaude et humide. J’aime quand tu me regardes avec ton regard brillant et plein de désir. J’aime ...
    ... caresser ta bite, la sentir gonfler et durcir sous mes doigts et dans ma bouche. J’aime quand tu te branles devant moi pour m’exciter. J’aime quand nous nous branlons tous deux ensemble l’un devant l’autre pour nous exciter mutuellement. Je me rends compte que je ne peux me passer de tes mains, de ta bouche, de ta langue, de ta bite. Alors, reste travailler ici le temps que tu voudras : ainsi, tu pourras me baiser autant que tu en auras envie. Depuis hier, j’ai envie de toi, toujours. Ta bite m’a rendu la joie de vivre. Ma chatte est à toi quand tu veux. Ne la laisse pas sans ta bite. Si tu le désires, tu peux venir habiter chez moi ; tu me trouveras toujours dans mon lit, prête à satisfaire tes envies de mon corps. Je te le donne pour tout le temps que tu le souhaiteras.
    
    Elle me sourit. D’un sourire plein de promesses d’amour. Je ne répondis pas. Non que je n’eusse pas envie de vivre avec elle, mais je me rendais compte que mes études pourraient en pâtir. Je le lui dis doucement. Céline comprit tout de suite.
    
    — Tu as raison d’être sage. C’est moi la folle qui, après cette nuit et cette matinée, me fais des illusions. Tu viens quand tu veux, je t’attendrai.
    — Je continue à travailler chez toi le temps qu’il me faudra pour payer mes études. Merci pour tout ce que tu me donnes.
    — Comme tu veux, du moment que tu acceptes de faire l’amour avec moi.
    — Bien sûr.
    
    Je restai toutes les vacances et je travaillais tous les samedis et tous les congés. Je fus son seul amant pendant ...
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