1. Quand la chatte n'est pas là...


    Datte: 25/01/2018, Catégories: fh, extracon, copains, amour, Auteur: Hépicurien, Source: Revebebe

    ... C’est-à-dire que je n’ai plus trop envie d’y aller, on a un peu trop picolé et je préférerais rester ici à discuter si cela ne te dérange pas. Ça me fait du bien de parler avec toi.
    — Ça ne me dérange pas du tout, mais en restant ici tu ne risques pas de rencontrer quelqu’un, et puis tu t’es faite si belle, c’est du gâchis…
    — Ce n’est pas du gâchis pour tout le monde, puisque toi tu en profites ; et puis, en ta compagnie, je passe un excellent moment. Tu veux que je te serve un autre verre ? Whisky coca ?
    — Puisqu’on ne sort plus, avec plaisir, mais je crois qu’on va finir bourrés…
    
    Une nouvelle fois, Miryam se lève pour nous servir un verre et mettre une petite musique d’ambiance.
    
    J’en profite pour admirer sa silhouette longiligne de Vénus. Elle m’excite de plus en plus, mais, malgré la bosse qui commence à déformer mon pantalon, je n’ose rien tenter, préférant voir jusqu’où cette situation nous mènerait. En revenant de la cuisine, elle me dit :
    
    — C’est le quart d’heure américain. Monsieur, m’accorderez-vous cette danse ?
    — Avec plaisir, charmante demoiselle.
    
    Tout en dansant, Miryam fit semblant d’être en boîte.
    
    — Il n’y a pas beaucoup de monde ce soir dans cette discothèque !
    — Non, en effet, c’est plutôt désert, dis-je en entrant dans son jeu. Puis-je me permettre de vous dire que vous êtes la plus belle fille de cette soirée ?
    — Vous n’êtes pas mal non plus.
    
    En disant cela, Miryam se love un peu plus contre moi. Elle ne peut ignorer l’effet qu’elle ...
    ... me fait, et je ne cherche pas à dissimuler mon érection. Le slow est langoureux et elle se frotte littéralement contre la bosse de mon pantalon. Ma main, jusqu’à présent dans le creux de ses reins, descend sur ses fesses. Miryam me laisse faire tout en se tortillant davantage. Profitant de la musique langoureuse, je risque une bise dans son cou. Son parfum m’enivre. La chaleur de son corps décuple mon excitation. Ma main pétrit ses fesses et mon nez explore son cou, couvrant cette partie de son corps de baisers enflammés. Je sens ses tétons pointer contre ma poitrine. Ma gorge est sèche, mais pour rien au monde je ne voudrais que la musique s’arrête.
    
    Miryam se dégage brusquement de moi, je crois l’espace d’un instant qu’elle a repris ses esprits et que tout va s’arrêter là. Elle me pousse jusqu’à la banquette, fait un pas en arrière et continue seule sa danse langoureuse. Elle me tourne le dos. Étant en contrebas, je peux admirer à loisir son cul qui se trémousse devant mes yeux. À chaque balancement de ses hanches, sa minijupe se relève un peu plus, me dévoilant ses bas. Brusquement, elle se retourne, son chemisier déboutonné de moitié. Elle en agite les bords pour se rafraîchir, me dévoilant une partie de sa poitrine. Ses tétons dardés semblent essayer de percer le tissu du chemisier pour prendre l’air.
    
    — On dirait que cette danse t’a « chauffé » aussi, me dit-elle en fixant son regard sur la bosse de mon pantalon.
    — Tu as dit "aussi", ça veut dire que tu es dans le ...