Les plaisirs d'Élodie - Histoires de Sexe

Les plaisirs d'Élodie

... prendre la caméra en mains. Alors entre en scène le quatrième larron. Un Black bodybuildé, 1,90 m au moins, le crâne rasé, et à ses premiers mots je ne peux m’empêcher d’éclater de rire : le con, prénommé Serge, a un "seveu" sur la langue. Avant de prendre place dans le ventre d’Élodie, il croit bon de dire :

— Détends-toi ma série, ze te vais te bourrer ton petit cul et t’envoyer au paradis.

Vu la taille de ce qu’il lui enfile, il n’aura pas de mal. Et c’est reparti pour une série d’orgasmes qui vont crescendo. Les bruits mouillés, les sécrétions qui s’écoulent sur les testicules noirs témoignent du plaisir qu’elle prend. "Serze" se retire pour laisser la place à David, et c’est reparti pour un bourrage de chatte bien sonore. Avant de se retirer, il lui libère l’anus d’un plug plutôt gros. J’apprendrai qu’elle s’entraîne depuis des semaines pour s’élargir le fondement à la demande de son amant. Sans y avoir pris du plaisir, dit-elle, sauf…

Le premier à la prendre de ce côté est Alain. Ça ne dure pas bien longtemps, juste pour tester la souplesse du sphincter. La caméra se tourne vers le deuxième canapé où se trouve "Serze", bite au vent bien tendue. Élodie vient s’empaler sur son sexe avec un sourire gourmand et s’allonge pour venir poser sa tête dans son cou. Alain arrive derrière elle et vient la sodomiser pour une double pénétration qui me laisse pantois. Sa passivité me trouble : elle n’a jamais été comme cela avec moi. Et que dire de ses cris… Je serais ...

... bien incapable de lui donner autant de plaisir.

Je me doute qu’elle ne se contentera plus de nos petites parties de baise bien gentilles. Le spectacle me plaît, je me découvre voyeur et j’en redemande.

Le film s’étire en longueur ; le lecteur affiche une heure et demie de lecture, et elle a toujours deux bites plantées en elle. Quelle santé ! Ils ont dû se gaver de Viagra. Facile, pour des médecins. Quand l’un éjacule, un autre prend la place. Mais se sont bien eux qui disent « assez » ; Élodie ne semble pas vouloir en rester là. Il suffit de voir comme elle essaie de les réanimer.

Je suis aussi vanné qu’eux. Il est tard ; je me décide à aller me coucher. J’ai un gros retard de sommeil et je me sens l’esprit plus serein ; la nuit sera bonne.

On est mercredi, je suis au travail et je ne pense plus du tout aux incartades d’Élodie quand mon GSM sonne. C’est le docteur F. ; je suis remonté à bloc, et c’est lui qui va perdre pied.

— Salut, David ; j’ai regardé votre dernier film et j’ai beaucoup aimé. Dites-moi, elle vous a mis sur les genoux malgré les comprimés de Viagra que vous avez avalés ! Il faudra peut-être recruter, la prochaine fois.

Il laisse échapper un rire plutôt forcé.

— Vous voudriez peut-être nous rejoindre ?
— Non, je pense qu’Élodie n’apprécierait pas. Pour vos prochaines productions, vous devriez penser à utiliser des sextoys : ça vous reposerait.
— Vous ne pensez pas si bien dire ; vous allez être surpris. Vous voulez des nouvelles de ma ...