Rencontre II - Histoires de Sexe

Rencontre II

... manquant de s’étouffer à la vue très proche d’une verge pénétrant le cul d’une de nos compagnes.
— Vos compagnes ?
— … Je veux parler des amies de mes amis.
— Vous voulez dire que… je pourrais être exhibée ainsi ?
— Nous n’en sommes pas encore là, mais cela est loin d’être inenvisageable. Il faudra auparavant que tu deviennes ma femme.
— ?
— Bien sûr, chérie. N’oublie pas que nous ne sommes que fiancés, et que cela ne peut être qu’une situation transitoire.
— Et qu’envisagez-vous pour la suite ?
— Juste… approfondir notre liaison, mais cela ne sera possible que lorsque tu seras décidée à t’ouvrir d’avantage à moi.
— M’ouvrir à vous ?
— Mentalement et physiquement. Pour l’instant nos rapports sont encore timides, et il faudra bien, à un moment où à l’autre, que tu t’engages vis-à-vis de moi.
— Et je pense que l’engagement sera concrétisé dans mes draps.
— Pas mal vu ! Mais pour toi, cela ira plus loin, car je ne prendrai pas que ton cul : je te prendrai totalement, et à partir de cet instant tu m’appartiendras en tout…
— Vous désirez donc que je devienne votre… chose.
— Je n’aime pas trop ce mot, mais c’est celui qui est souvent employé et que j’apprécie de ta part. Il est vrai qu’en m’ouvrant tes cuisses, tu devras accepter ma bite mais surtout une nouvelle situation.
— Vous me faites de nouveau peur.
— Peut-être, mais dis-toi bien que, malgré quelques contraintes, tu y gagneras beaucoup.
— Quoi par exemple ?
— En premier lieu, le fait de pouvoir assumer ...

... plus facilement une sexualité que tu désires. Tes envies d’exhib, de docilité et d’obéissance seront satisfaites en… réel.
— Je ne peux pas dire que j’ignorais vos désirs et que je n’étais pas demandeuse, mais tout cela me paraît très rapide.
— Rapide peut-être, mais si tes envies sont aussi grandes que les miennes, il faudra que tu réagisses très vite.
— Réagir ?
— Juste affirmer ton désir d’être ma possession par ta conduite.
— Ma conduite actuelle n’est-elle pas satisfaisante à vos yeux et vos mains ?
— Rassure-toi, elle est très bonne, mais elle ne peut suffire à concrétiser ton futur. Aimes-tu ma main sur ta cuisse ?
— Je mentirais si je répondais non, et je m’imagine déjà sa progression si j’étais autrement vêtue.
— Je dois avouer que j’aimerais parcourir cette jarretelle beaucoup plus haut, et surtout sur ta peau nue de préférence.
— Je vous comprends et je m’en veux de vous priver de cela, car je sens votre sexe très en forme.
— J’ai même l’impression qu’il est déjà en toi, et le peu d’étoffe qui nous sépare ne résisterait pas à un assaut un peu viril.
— Oui, et cela suffit à me faire frissonner.
— Je l’espère, mais je répète que ces voyeurs ne sont qu’une très petite minorité. Les autres sont des habitués.

La main gauche de Christophe est maintenant au-dessous de mon nombril, me tirant à lui tandis que la droite m’a saisi à la cuisse, jouant avec une jarretelle.

— N’est-ce pas trop, Christophe ?
— Trop osé ?
— Oui.
— Cet endroit a vu beaucoup plus ...