Rencontre II - Histoires de Sexe

Rencontre II

... cependant que tu satisfasses mes besoins avant que je ne te laisse pour ce soir. Je ne te prendrai pas comme la femelle que tu es, mais je tiens cependant à ce que tu me goûtes.
— Je ne comprends pas exactement, Christophe.
— Ma chérie, tu dois te douter que j’ai les couilles pleines, et tu vas devoir me pomper jusqu’à ce qu’elles soient vides. Rassure-toi cela ne devrait pas être long.
— S’il vous plaît. Je vous avais dit que je n’avais jamais goûté au sperme.
— Bien sûr, mais tu es ma fiancée depuis ce jour et il m’importe que tu me connaisses plus… intimement. Je tiens à ce que tu conserves un souvenir de moi cette nuit. À genoux, et ôte moi mon slip totalement afin que je ne sois pas gêné !

Je ne réponds pas mais obtempère, tout en imaginant avec crainte la suite.

— Allez ! Je veux tes mains, tes lèvres et ta langue. Dépêche-toi !

Je ne peux répondre mais obéis. Je fais descendre son slip, déjà à mi-cuisses, et l’en libère avec son aide. La verge dressée m’apparaît pour la première fois aussi près de mon visage. Je n’attends pas avant de la prendre en main et faire aller celle-ci de bas en haut. Je ne suis pas experte mais je possède beaucoup de connaissances virtuelles, et je pense que mes gestes lui plaisent. Je sais qu’il est impatient et je ne tarde pas à poser ma langue sur son gland. Ce contact ne m’est pas désagréable, mais je ne peux m’empêcher de penser à la suite. C’est en fermant les yeux que je me décide à refermer mes lèvres sur le membre et ...

... entamer une timide fellation. Ce n’est pas cet acte que je redoute, mais c’est le moment où il se lâchera. Je sais que je n’ai en bouche qu’une petite partie de son sexe mais la main posée sur ma nuque, bien que m’incitant à prendre plus, ne me pousse pas à l’extrême. J’ai peut-être en moi la moitié du membre quand je l’entends enfin :

— Il te faudra faire des efforts à l’avenir, mais pour ce soir, tu t’en sors bien. Je vais te baiser la bouche sans violence pour me vider en toi, et sache que ce que tu n’avaleras pas te serviras de maquillage.

J’apprends en quelques secondes ce que veut dire « baiser la bouche », et trois ou quatre fois je crois étouffer sous les assauts de Christophe. Le jet de liqueur est presque un soulagement, et je l’avale ainsi que les deux suivants. C’est le moment qu’il choisit pour se retirer mais continuer à cracher sur moi. Je ferme les yeux de crainte d’y être touchée, mais mon visage entier reçoit la semence… que je ne connaissais pas.

— Je t’aime ainsi, chérie, et toi ?
— ?
— Je veux savoir comment tu as vécu ces instants.
— J’ai souffert et ai découvert…

Tout en parlant, il passe son index sur une joue souillée et le présente à mes lèvres, que je dois écarter avant de le sucer.

— C’était mon but, mais je voudrais savoir comment tu as ressenti le fait de me recevoir en toi et sur toi.
— Difficile physiquement, mais je suis cependant heureuse de savoir que j’ai en moi un peu de vous.
— Cela est un bon point pour toi, et sache que ...