1. Ma soeur Houda (5)


    Datte: 02/06/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Noureddine Bouhahmed, Source: Xstory

    ... son antre tout mouillé et le velouté de ses chairs intérieures.
    
    L’instant d’après, je me mis à la tringler en un large mouvement de va-et-vient, tandis qu’elle tenait sa tête de ses mains. Je la harcelais ainsi pendant un bon quart d’heure. Elle n’en finissait pas de haleter, de gémir et de feuler comme une panthère pendant que je lui livrais mes assauts. Je me retirais d’elle et contemplait sa fente toute rouge et dégoulinante de sa sève, alors que le volume de sa croupe et de ses cuisses pleines me donnait le vertige. Je la fis se relever un peu afin de lui saisir les seins, que je pétrissais sans ménagement en roulant ses tétons entre mon pouce et l’index. Elle était aux nues, tête rejetée en arrière, sur mon épaule, cherchant ma bouche pour un baiser.
    
    Je la retournais tout contre moi alors qu’on était tous deux à genoux sur l’herbe, plaquant mes lèvres contre sa bouche pulpeuse, ma langue investissant la sienne. J’avais enlevé ma chemise et ses seins étaient à présent écrasés contre ma poitrine. J’achevais de lui ôter son T-shirt et me mit à la caresser dans le dos pendant que ses mains s’affairaient autour de ma queue toute glissante de son humeur. Je la fis alors grimper sur ma queue en l’y faisant asseoir jusqu’à la garde alors que ses fesses étaient en appui sur mes cuisses.
    
    Ha putain, tu n’arrêtes pas de me faire jouir, me dit-elle.
    
    — C’est parce que j’ai tellement envie de toi que je me fais un devoir de te faire jouir, mais surtout en pensant baiser ...
    ... une pute sans vergogne. Elle sourit en collant son front contre le mien.
    
    — Tu n’arrives pas à oublier les rebeux qui me baisaient dans le garage de l’immeuble. Ben oui, c’est vrai que j’étais leur pute.
    
    Au bout d’un moment d’intense plaisir que nous éprouvions l’un et l’autre de cette union aussi incestueuse qu’infernale, je sentais que j’allais venir, je me retirais d’elle, l’étendis sur l’herbe et plaçais aussitôt ma queue entre ses seins, que je maintenais serrés l’un contre l’autre, entre lesquels je coulissais ma bite toute glissante de sa mouille. Elle avait ouvert la bouche, langue tirée, guettant l’instant où j’allais foutre sur ses seins. Son attente ne fut pas longue avant que de puissants jets de sperme tout blanc et grumeleux ne jaillissent pour lui arroser les seins et aussi remplir sa bouche gourmande.
    
    Elle avalait, en se pourléchant les babines, les provisions de sperme stockées une semaine durant. L’instant d’après, elle se servit comme d’une crème de mon jus sur ses seins pour l’étaler en se massant les nichons.
    
    — Je vois que tu es toujours aussi friande de sperme. Je comprends à présent pourquoi tes fesses et tes seins ont encore pris du volume. Tu te nourris du produit de mes reins. Elle éclata de rire.
    
    Après cette torride partie de plaisir, on se mit au repos sur l’herbe. On avait bien dormi une bonne demi-heure avant que le gazouillis des oiseaux ne nous réveille. On était aussi nus l’un que l’autre et le soleil nous avaient bien réchauffés. ...