Ma soeur Houda (5) - Histoires de Sexe

Ma soeur Houda (5)

Ce jour-là, on était de sortie à la campagne. Il n’y avait pas une demi-heure depuis qu’on y est arrivé. Mes parents s’affairaient déjà à étaler le pique-nique. N’ayant rien de mieux à faire, j’invitais ma sœur Houda à aller faire un tour du côté de la rivière. Je dis à mes parents qu’on sera de retour avant midi. En fait, ce n’était pas tant la promenade qui m’intéressait, mais bien le fait de tringler ma sœur, que je n’avais pas baisé depuis déjà une bonne semaine. C’est dire la quantité de sperme que mes testicules enfermaient.

Elle portait un T-shirt échancré qui laissait voir le dessus de ses globes marmoréens, découvrant ses épaules. Elle avait aussi un short blanc qui enserrait sa croupe de jument, laissant voir la naissance de ses fesses. Pour ma part, je portais une chemisette et un pantalon de toile sans rien dessous, ce qui laissait nettement voir mon érection, que j’essayais de cacher tant bien que mal après avoir redressé ma queue à la verticale, mais ça formait tout de même une grosse bosse.

Bien entendu, la chose n’avait pas échappé à ma sœur qui affichait un sourire narquois plein de sous-entendus, accompagné d’un clin d’œil digne d’une pute des trottoirs. Elle avait bien compris mes intentions et elle en était toute guillerette. Je pris ma sœur par la main et nous nous dirigeâmes vers la clairière, du côté de la rivière. Une fois arrivé, après bien des pauses pour l’embrasser, lui peloter les seins et les fesses, pendant qu’elle posait sa main sur ma ...

... queue aussi dure qu’un morceau de bois, j’allais m’installer sur l’herbe au pied d’un arbre contre lequel je m’adossais. Ma sœur se coucha aussi sur l’herbe en mettant sa tête sur ma cuisse.

Aussitôt, je remontais son T-shirt et me mis à peloter ses formidables seins fermes et pleins, en roulant ses tétons du bout de mes doigts. Elle ouvrit le zip de mon pantalon, en tira ma bite, se mit à la masturber doucement avant de happer le gland entre ses lèvres pulpeuses de suceuse avérée. A mon tour je dégrafais son short que je tirais vers le bas pour l’enlever. Je mis mon doigt entre ses cuisses en le recourbant pour l’introduire dans sa fente. Je me mis à lui asticoter son clito et elle de gémir en me suçant, non sans tortiller du ventre après avoir écarté ses cuisses.

Son antre commençait à dégouliner en devenant assez visqueux. C’est ce moment que je choisis pour décider de la pénétrer. Je retirais ma queue de sa bouche, lui disant de se mettre à quatre pattes. Je passais derrière sa croupe monumentale, pris mon braquemart d’une main et me mis à lui lustrer la fente de bas en haut en insistant sur le clito avec mon gland. Ses seins étaient écrasés sur l’herbe et elle dandinait de son derrière sous l’effet du plaisir. Je crochetais mes mains dans la chair tendre de ses hanches et la pénétrais d’un seul trait jusqu’à plaquer mon ventre contre ses fesses. Elle aspira l’air tandis que je restais un petit moment ainsi figé en elle sans bouger. Je savourais l’intense chaleur de ...