Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (25) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (25)

... que j’irai avec elle, j’ai une épilation à faire. Elle précise que l’on sera certainement les derniers clients. Aurélie et Valérie les attendent seules, mais je n’ai jamais vu Aurélie me refuser.

14 h 55, je pousse la porte et laisse sortir un couple, elle la quarantaine, lui la petite vingtaine. J’arrête la dame et lui donne un carton d’invitation. Elle me remercie sans même le regarder. Mél et Aïcha sont rentrées et font la bise au couple de femmes. Aurélie me demande ce qui lui vaut le plaisir. Je lui demande une épilation. C’est Valérie, une goudou pure et dure, qui va s’occuper de moi. Aurélie a trop de boulot.

— Vas-y, me dit-elle à l’oreille, elle est chaude comme la braise, et tu lui plais.

— T’es sûre ?

— OUIII...

Elle s’en va avec mes deux donzelles, je suis Valérie. Elle a le look camionneur et la démarche pas très féminine. Pour elle, elle a un visage de poupon. Des seins hauts placés, ronds et fermes. Des fesses rondouillardes qui attirent les regards, tous les regards. Sa coupe de cheveux est moderne, très moderne. Rasée du côté droit, presque à blanc. Du côté gauche, elle les a plus longs et colorés, bigarrés. Chacun ses goûts. Je me fous à poil et m’allonge de dos sur la table, mon érection bien visible.

— Hum, fait-elle, ça va aller vite. Bien grosse et tendue, cela devrait nous prendre que quinze minutes.

— Je ne suis pas pressé.

Elle se déride un peu. Elle prend de la crème épilatoire et m’en met partout sur mon pubis, mes couilles. ...

... Elle me fait mettre à quatre pattes et m’en enduit la raie des fesses.

Le temps de pause est le moment qu’elle choisit pour m’avouer que d’habitude, elle est plutôt dominante dans leur sexualité, mais depuis l’autre soir, elle se sent soumise à Aurélie, elle voudrait être traitée en esclave sexuel, devenir son objet. Je lui réponds que je n’y peux rien, c’est à elles seules d’en discuter. Je serais là pour les aider. Elle m’interrompt.

— Mais je ne sais comment faire... Vous êtes marrant, je n’ai jamais fait ça, ressentis ça. Je l’aime, elle aussi, mais comment lui avouer. J’aimerai... Snif...

— OK, je comprends. Laisse-moi réfléchir. Enlève-moi cette crème. On en reparle après.

Elle se sèche les larmes et m’enlève toute la crème délicatement. Elle voit mon prince Albert et me sourit. Je vais prendre une douche, elle me sèche. Quand elle arrive à ma tige, elle se met à me branler en décalottant à chaque fois. Elle s’en amuse. Je l’arrête et la fais asseoir sur la table et lui écarte largement les cuisses. J’ouvre sa blouse, elle est en string, pas de soutien. Je la savais bien fournie niveau poitrine, et j’avais raison. Je tire brutalement sur son string et le lui arrache. Elle est surprise, mais ne dit rien.

— Tu vas venir avec moi. Je vais te prendre comme une chienne, on va baiser devant ta copine, si j’en crois ce qu’elle m’a dit en arrivant, elle n’attend que ça. Bon, tu baisses les yeux. Tu passes devant.

Nous voilà dans le box où officie Aurélie. Elle ...