Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (25) - Histoires de Sexe

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. (25)

Je sors de la piscine et je vais dans ma chambre. J’y prends du gel anal et retourne en passant par la porte-fenêtre de notre salle de jeux. Mélissa et Aïcha sont trop occupées pour me voir faire signe à Titi. Elle arrive, arborant fièrement une érection phénoménale. Suis-je prêt à me faire enculer par une shemale, je le pense et elle m’excite. Au moins, je serais passé avant Pierrot. Elle est là en se branlant lentement. Elle est belle, toute bronzée, pas de trace de maillot, elle est entre la couleur de Mél et celle d’Aïcha.

— Que regardez-vous ?

— Toi, tu es magnifique avec ton bronzage intégral.

— Merci, me dit elle en prenant le gel, vous avez déjà pratiqué ?

— Oui, il y a longtemps, avec mes amantes de passage. Mais par un vrai sexe, jamais.

Elle me positionne debout face à la table et commence à me bécoter partant de ma nuque, en passant par mes omoplates, poursuivant par le creux de mes reins. J’écarte les jambes, je peux la voir sourire dans le grand miroir. Elle darde sa langue et s’attaque à mon petit trou. Elle n’est pas dans son rôle de dominatrice, mais d’initiatrice. Un bon point pour initier les hétéros purs et durs qui viendront dans le club, pensais-je. Elle se régale, je sens mes sphincters se détendre et palpiter sous cette caresse. Elle met du gel sur son majeur et me masse le tour de mon anus et me l’introduit lentement. Elle me regarde, me sourit. Elle m’enfonce un deuxième doigt et m’écarte un peu plus. Je ne peux éviter son regard de ...

... coquine, de salope qui va déflorer son patron. Ma queue se gorge de sang, moi qui croyais que l’on ne pouvait pas bander dans une telle situation, comme quoi.

Elle se relève en gardant les doigts bien au fond. Elle les fait tourner tout en m’embrassant dans le cou.

— Ça va ? s’inquiète-t-elle.

— Hum, oui. Je n’attends plus que toi.

— Coquin, me susurre-t-elle en pointant son gland sur l’entrée des artistes.

Je sens son gland m’écarteler et, comme aspiré, me pénétrer. Elle reste ainsi pendant quelques secondes, le temps pour elle de bien lubrifier son manche. Elle pousse d’un mouvement régulier et profond. Mes fesses sont au contact de son pubis. Elle est en moi. Aucune franche douleur n’est venue m’empêcher de l’accepter au fond de mes reins. Elle me pince les tétons, me lèche le cou, me mordille le lobe de l’oreille. Je me retourne comme je peux et l’embrasse à pleine bouche. Elle ressort jusqu’au gland et pousse fort pour me reprendre à fond. Ses couilles viennent heurter les miennes.

— Tu as un cul de rêve, j’ai envie de te le défoncer.

Son tutoiement ne m’étonne même pas, elle n’est pas en train de baiser un de ses soumis, elle me fait l’amour. Ça se sent. Elle caresse mon torse, mon bas-ventre, mais, bizarrement, pas mon sexe. Je regarde à droite, dans la glace, et je vois Mélissa s’agenouiller entre nos cuisses. Titi commence ses va-et-vient, en douceur. Mél me saisit la bite, la tire entre mes cuisses et commence à récupérer mon liquide transparent ...