Petite vendangeuse
Datte: 01/06/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
groscul,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Yann2, Source: Revebebe
... était en train de s’essuyer le gland sur les fesses luisantes de sa jeune maîtresse.
La nuit qui suivit, je dus plusieurs fois me masturber pour atténuer la tension. Moi qui pensais Rosalie toute frêle et toute timide, la voir ainsi se faire prendre par ce vieux satyre m’avait vraiment tout retourné.
La journée suivante, j’essayai de lui faire du gringue, mais elle préféra m’ignorer et rester insensible à mes approches. N’en pouvant plus, j’ai fini par la coincer contre le tracteur pour lui peloter les fesses, mais elle m’a violemment repoussé.
— N’insiste pas, il pourrait nous voir.
J’ai alors compris que je m’étais fait piquer la place par ce vieux cochon. Je ne comprenais pas trop, j’aurais bien voulu en profiter un peu moi aussi de ce gros derche. J’étais vert de jalousie. Comment pouvait-elle préférer ce vieillard à un jeune ?
Toujours est-il que le soir venu, je les revis au même endroit, il l’avait coincée contre une botte de paille et était en train de lui trouer le cul.
Il poussa un grand coup dans ses parties charnues et l’enfila de toute sa longueur. Rosalie poussa un grand cri :
— Ah ma belle, elle te remplit bien le cul, celle-là, tu n’en as jamais eu une aussi grosse.
Et il se mit alors à l’enculer avec une brutalité peu commune, sans respect pour sa douleur. Agrippant son large fessier, il se déchaîna un long moment dans son derrière avant de se retirer et de lui empoisser le dos avec son foutre gras. Puis il la fit se retourner et ...
... lui força la bouche avec son zob.
— Putain de salope, tu peux plus dire que t’es pas une enculée après ça.
Elle le nettoya sans rechigner avant qu’il ne remonte son falzar et qu’il ne sorte de la grande en la laissant à moitié à poil sur sa botte de paille. J’eus juste le temps de me cacher. Il passa à côté de moi sans me voir en se raclant la gorge puis cracha un mollard gluant à deux pas.
Lorsqu’il se fut un peu éloigné, je rentrai à mon tour dans la grange. Rosalie était en train de se rhabiller et leva vers moi un visage embué de larmes :
— Il t’a fait du mal ce salaud.
— Oh, ça ce n’est pas grave… C’est surtout qu’il ne m’aime pas…
— Mais tu t’attendais à quoi ?
— Il est veuf… Hier, il m’avait dit qu’il se cherchait une femme, qu’il en voulait une bien salope, alors je me sentais prête à tenir ce rôle, mais aujourd’hui j’ai bien compris que je ne lui sers que de bouche-trou.
J’essayai alors de l’attirer à moi, de l’embrasser.
— Arrête, sois gentil, pas ce soir…
Le lendemain, c’était le dernier jour, aucune trace de Rosalie. Quelqu’un me dit qu’elle était malade. Dommage, j’aurais bien aimé la revoir, qu’elle me donne au moins ses coordonnées…
Plusieurs semaines plus tard, je suis venu chercher mon solde à la ferme. J’étais sur le point de partir quand le patron m’a dit :
— Ah, au fait, mon gars, la petite elle a demandé de tes nouvelles.
La petite, quelle petite ?
— La petite toute voûtée avec son gros cul, j’sais plus bien son nom.
— ...