1. Petite vendangeuse


    Datte: 01/06/2018, Catégories: fh, hplusag, groscul, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, Auteur: Yann2, Source: Revebebe

    Nous étions assis côte à côte sur un tonneau dans le chai et nous regardions sagement le père Rémy qui s’activait entre ses barriques.
    
    Rosalie était un petit bout de femme minuscule, une brunette toute en nerfs qui avait fait les vendanges avec nous. La vie ne l’avait pas gâtée : affublée d’un physique plutôt ingrat, elle s’était retrouvée mariée très jeune avec un mari qui la battait, qui avait même été condamné pour violences conjugales. À presque trente ans elle avait dû s’enfuir et se cacher pour échapper à la vengeance de cette brute. C’est ainsi qu’elle s’était retrouvée dans ce coin perdu complètement isolé, et c’est aussi pour cela qu’elle acceptait tous les petits boulots. De mon côté, j’étais étudiant, je travaillais pour payer mes études, accessoirement je me faisais aussi un peu d’argent de poche pour faire la fête avec les copains.
    
    D’ordinaire, cette fille là, je n’en aurais voulu pour rien au monde. Elle avait un visage austère qui inspirait une grande tristesse et sa figure était défigurée par une large estafilade, héritage d’un combat avec son ex. Mais surtout, elle était toute voûtée, toute recroquevillée sur elle-même, passablement bossue et, pour compléter le tout, elle marchait en claudiquant à moitié.
    
    Je ne sais pas ce qui m’a pris ce soir-là quand je lui ai mis une main aux fesses. J’avais peut-être bu un peu trop de vin durant le dîner. Il faut quand même préciser que ses fesses étaient sans conteste la partie la plus excitante de son anatomie ...
    ... car cette petite puce avait un très large fessier. Dans la journée, je la regardais parfois marcher dans les rangées et lorsqu’elle se penchait, cela mettait bien en évidence cet imposant derrière.
    
    Et me voici donc qui étais en train de triturer ce gros cul, honteusement et à pleines mains, à travers son pantalon de laine épaisse. Rosalie ne disait rien mais dans la lumière crue du cellier je la voyais rougir. De mon côté, j’essayais de rester discret, le plus impersonnel possible, car j’avais l’impression que le père Rémy nous observait discrètement du coin de l’œil. Lorsque le vieil homme est passé dans l’autre cave, je me suis alors tourné vers la fille et je l’ai embrassée, elle s’est laissé faire très passivement, ma langue a enlacé la sienne, a investi sa bouche tandis que mes doigts peu scrupuleux trituraient sa poitrine. Malheureusement pour moi, le viticulteur n’a pas tardé à revenir et nous a surpris en train de nous bécoter. Il m’a vu lui rouler une pelle mais il n’a rien dit, il s’est juste raclé la gorge pour que l’on remarque sa présence. Nous sommes alors revenus à une position plus décente, ma main se contentant gentiment de palper les fesses de ma complice.
    
    C’est tout ce qui s’est passé ce soir-là, car d’autres vendangeurs sont arrivés et j’ai dû laisser Rosalie. Nous étions, comme d’habitude, tous un peu crevés après une dure journée de labeur. Nous avons regagné nos dortoirs respectifs, les hommes avec les hommes et les femmes avec les femmes. Et je ...
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