1. Adultes consentants


    Datte: 01/06/2018, Catégories: grp, sexshop, fête, fsoumise, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... fond de la boutique, une porte. La pièce est plus sombre. Sombre comme les desseins de ceux et celles qui l’occupent. Nous retrouvons le couple, voyeurs comme nous, et un autre qui nous dévisage. Dans cette pièce, tout est différent. Tout est présenté pour la soumission. Des mannequins avec des tenues en cuir, en latex. Des accessoires dont je ne comprends pas toujours l’usage. Des fouets, des cravaches, des menottes, des godes énormes, des pinces, mais aussi et surtout, sur le mur, des écrans qui présentent des objets, et surtout leur usage. Le matériel est manifestement trop encombrant pour être stocké et présenté aux clients. Aussi les démonstrations sont virtuelles. Ce que j’ai vu de la femme attachée tout à l’heure est une broutille devant la sophistication de certains montages.
    
    Quelle recherche du détail ! La tête se place ici ! Les chevilles, là ! Les cuisses sont écartées par des barres ! Les mains sont liées dans le dos ! Femmes et hommes mis en scène sont des sujets qui font presque envie.
    
    Mais Agnès ne me laisse pas trop le temps de peaufiner mon éducation par l’image.
    
    — Essaye ça !
    
    L’ordre résonne et surprend tout le monde. La lingerie est posée sur un fauteuil dont les sangles parlent d’elles-mêmes.
    
    — Mais, il y a du monde…
    
    Le coup me surprend. La cravache qu’elle tient dans la main claque sur mon jean.
    
    — Obéis !
    
    Les autres nous regardent. Ils chuchotent, mais ne font pas mine de s’interposer ou de partir.
    
    J’ai honte. Je m’exécute, mais ...
    ... j’ai honte. Ce n’est pas tant de me déshabiller devant d’autres personnes que le fait que je vais encore choquer Agnès et certainement les autres personnes avec mes dessous si grossiers, mais pourtant si confortables.
    
    Mais elle ne me fait pas de remarque.
    
    J’essaye. Ici, un string ficelle. Là, une culotte fendue. Des soutiens-gorge tous plus sexy les uns que les autres. Des corsets. Des robes qui me moulent et m’arrivent au ras du bonbon.
    
    Je vois dans les regards de ceux qui matent que cela me va bien. Petit à petit, Agnès met de côté sa sélection.
    
    Ainsi, lorsque je ressors de la boutique, je suis une autre. C’est étrange comme cela fait du bien de se laisser guider. Ma robe me moule. J’ai une pensée :« Pourquoi faire tant d’essayages de lingerie si c’est pour me laisser nue sous le mince tissu ? »
    
    Plus que nue, car mes tétons font deux pointes que l’on ne peut pas ignorer. Bien sûr, j’avais déjà vu desnippies, disques de tissu ou de silicone – souvent autocollants – prévus pour cacher les tétons, mais l’inventivité de certains est sans limites. Ceux que me fait porter Agnès sont détournés de leur usage primitif. Comme les normaux, ils sont collés sur l’extrémité de mes lobes mais le téton, au lieu d’être masqué, est au contraire exacerbé car un trou est prévu pour son passage.
    
    Je vois encore le regard des spectateurs lorsqu’elle me les a installés.
    
    Mais que dire des murmures lorsqu’il a fallu que j’accepte de recevoir un petit plug dans mon cul et un œuf ...
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