1. Adultes consentants


    Datte: 01/06/2018, Catégories: grp, sexshop, fête, fsoumise, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... côté. Mon Dieu ! Une femme totalement nue est immobilisée. Les bras sont tendus vers le plafond. Les jambes, écartées, rivées au sol. Et puis ce bâillon, sorte de boule rouge qui occupe sa bouche. Et sa poitrine !
    
    Deux obus. Deux obus presque rouges tellement sa poitrine est malmenée. Une corde qui descend de son cou entoure la base de chaque lobe, étranglant le sein pour le concentrer en une forme si dense qu’à chaque instant on a l’impression qu’elle va exploser. C’est autre chose qu’une main qui presse un sein pour en faire pointer le téton.
    
    Est-ce douloureux ? Certainement. En tout cas, la femme sursaute à chaque fois que son tortionnaire les touche. Il se sert d’une cravache, mais les coups sont plus des caresses que des brutalités.
    
    — Regarde… Regarde la vicieuse dans la glace. C’est toi. Et tu sais que d’autres hommes attendent leur tour. Je vais les faire venir un par un pour te prendre.
    
    La femme gémit. Son bâillon ne laisse passer que des borborygmes, et de la salive coule au coin de ses lèvres déformées. Elle fait non de la tête. Ses yeux implorent grâce.
    
    J’imagine que ce couple réalise son fantasme, ou au moins celui de l’homme, accepté par la femme. Ils y mettent toute leur conviction, et si on ne savait que chacun avait reconnu louer cette pièce pour leur plaisir commun, on pourrait s’y laisser prendre.
    
    Mais l’homme maintenant utilise sa cravache pour la frapper. Oh, pas des coups très violents, des coups mesurés sur les seins, sur le ventre, ...
    ... sur le sexe. Mais des coups plus forts sur les fesses qui font se tordre la prisonnière. Il s’attarde derrière elle. Mais bien vite on comprend qu’il a une intention plus naturelle. Il ouvre sa braguette, en sort une verge bien en forme et, après s’être positionné, on le voit enfiler la femme. La possession est si violente que j’en ressens le choc sur ce qui nous sert de barrière.
    
    Mais ce n’est pas ce qui se passe de l’autre côté qui est la cause de cette vibration. En réalité, le couple à côté de nous est en action. L’homme est derrière la femme et la baise. On ne voit rien ; la robe cache leur intimité, mais les mouvements sont sans équivoque.
    
    Je ne suis pas la seule à les remarquer. Agnès et les deux autres voyeurs regardent dans leur direction. Agnès sourit. Je la vois parler à l’oreille d’un des hommes, puis de l’autre. Mais c’est vers moi que se dirige le regard des deux mâles.
    
    Je les vois reculer pour aller s’asseoir sur une banquette qui court le long du mur. Chacun extirpe son sexe de son pantalon. Agnès me pousse vers eux.
    
    Je comprends qu’ils m’attendent. Elle va me demander de leur faire une fellation. C’est sûr. Mais moi je ne veux pas. Non, je ne peux pas sucer un homme de cette façon. Ce n’est pas que je n’aime pas cela ou que cela me dégoûte, mais je ne supporte pas une odeur trop forte.
    
    — Branle-les. Fais-les jouir. Montre-moi ce que tu sais faire.
    
    Je suis presque soulagée par cet ordre. Je m’agenouille et je m’empare des deux queues déjà ...
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