1. Adultes consentants


    Datte: 01/06/2018, Catégories: grp, sexshop, fête, fsoumise, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme confession, Auteur: Roby, Source: Revebebe

    ... droit d’émettre des vœux ?
    
    Mais Claire fait allonger l’homme sur le sol. Je n’ai pas le fantasme de l’homme d’une race différente comme certaines, à ce que j’ai entendu dire. Mais il faut reconnaître que, comme son amie, il n’est pas mal fait. Plus si jeune ; un peu de brioche, des cheveux blancs.
    
    Assise entre ses jambes, elle le caresse. Il est encore flasque. Mais petit à petit il se développe. Claire le branle doucement, et par moments suce le gland. Le gland, au début protégé par un capuchon de peau qui le cachait totalement, se révèle. Un rose sombre qui tranche sur la hampe et le reste.
    
    Régis et son enculeuse se sont approchés. Ils regardent. Lentement, la femme possède l’homme dans de profondes avancées. Le gode n’est pas si petit ; Régis doit avoir le cul bien rempli avec l’engin, mais il ne se plaint pas. Tous regardent le couple. Le mari qui se fait branler. La femme qui suce la bite noire.
    
    La bite est maintenant en majesté. Elle est belle. Pas de ces monstres que j’ai déjà eu l’occasion de voir sur le Net. Mais tout de même, la main de Claire sert de référence.
    
    Claire l’a bien préparée. Elle se relève. Pas de doute que maintenant elle va en profiter sous les yeux de leurs conjoints.
    
    Mais c’est moi que l’on pousse. Juste avant de me guider vers le pieu, quelqu’un m’attache les mains dans le dos. Une main charitable fait tenir l’engin vertical et d’autres mains m’aident à me placer.
    
    C’est fou ce qu’on peut être malhabile avec les bras ...
    ... immobilisés ! Une fois le gland entré, il me suffit de descendre. Je ne veux pas me priver du plaisir – qui doit être aussi celui de ceux qui regardent – de descendre lentement pour m’imprégner de la chose. Elle me remplit ; elle ne me distend pas, mais elle semble sans fin.
    
    Ouf ! Je craignais ne pas en voir le bout, mais je peux enfin me reposer sur les cuisses de l’homme. Pourtant je n’ai pas le temps de profiter que déjà on me pousse. On me fait pencher en avant. Sans point d’appui, je ne peux que m’allonger sur le ventre et le torse de l’homme.
    
    Mais on bouge à côté de moi. Régis et son enculeuse se déplacent. En tournant la tête, je vois que c’est derrière moi qu’ils se dirigent. Le temps d’un ajustement, et je sens une présence contre mes fesses. Mes fesses sont écartées, et je sens qu’on va m’enfiler le cul. Le gode de la femme ? Non, c’est chaud et souple. Une queue. Une bite bien vivante. Régis m’encule. Je suis déjà bien remplie par le pieu dans mon vagin, et il doit batailler. Il avance doucement. Il rampe. Ce n’est pas douloureux ; je suis grasse de la semence de Marc, mais j’ai peur qu’il me déchire.
    
    Et puis il y arrive. Me voici pleine de la vigueur de deux bâtons.
    
    Régis s’allonge sur moi de tout son poids. Je sens son souffle sur ma nuque.
    
    La secousse est forte. Le soupir dans ma nuque est à la hauteur de ce que je ressens. Régis a brusquement bondi en moi. Je comprends qu’en réalité c’est la femme et son gode qui vient de le reprendre.
    
    C’est une femme ...