1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°983)


    Datte: 31/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... besoin de ta présence. Tu vas donc commencer à écrire maintenant. »
    
    Je regardais l’heure, il était encore très tôt, je pensais avoir au moins une bonne heure devant moi. J’ouvris donc ma messagerie, ouvris un nouveau mail et après avoir sélectionné « Monsieur le Marquis d’Evans » dans le répertoire des expéditeurs », et avoir entré « Rêve » en tant que sujet, je fermais les yeux pour essayer de me remémorer le plus en détails possibles ce que j’avais vécu en rêve.
    
    « Maître Vénéré, je Vous prie de bien vouloir daigner me lire. Maître Vénéré, voici ce dont j'ai rêvé la nuit passée et qui m'a fait commettre ma faute : J'étais en train de faire mes corvées matinales, au service du jardinier. Nue, à quatre pattes, je creusais des trous de mes mains pour planter des bulbes de lys blancs. J'étais couverte de terre. Tous ceux qui travaillaient sur les plantations étaient "motivés" par le fouet de l'homme auquel nous devions obéir. Un des domestiques du Château vint me dire que j'étais attendue devant l'entrée de la noble demeure. Quand il précisa que c'était un ordre du Châtelain, le jardinier me laissa partir après un dernier coup sur les fesses, pour le principe, alors que j'étais déjà tournée vers le Château. Cela me surprit au point que je marquais un temps d'arrêt, cependant, pas le moindre son ne sortit de ma bouche. Alors que je me remettais en marche, j'entendis son ricanement pervers, satisfait de son effet. Arrivant devant le Château, je Vous aperçus. Je me ...
    ... dépêchais alors de venir au bas des marches du perron et me prosternais, attendant Vos ordres. Un "Suis-moi, au pied" sec sorti de Votre bouche. Je me mis donc près de Vos pieds mais, bien sûr derrière Vous, et je Vous suivis, avec un peu de mal, tant votre allure était rapide.
    
    Vous m'emmeniez au Donjon. Là, sans un mot, Vous approchâtes une table roulante, avec plusieurs sangles posées dessus. Vous en mîtes une autour de mes chevilles, une autour de mes cuisses, une me maintint les poignets dans le dos, deux passèrent, l'une au-dessus, l'autre au-dessous, de mes seins, et enfin un harnais de sangles fut posé sur ma tête et autour de mon visage qui me maintint en place un bâillon boule qui y était fixé... Toutes étaient reliées entre elles dans mon dos, afin que Vous puissiez y passer un crochet qui pendait au bout d'une chaîne. Quand ce fut fait, j'étais suspendue dans le vide à une trentaine de centimètres du sol, dans l'incapacité de bouger. Une cravache à la main, Vous vous êtes approché de moi et Vous avez commencé à me claquer les seins et sur les fesses, régulièrement, plutôt dans une sorte d'échauffement. Ne pouvant plus maîtriser mon corps, celui-ci se balançait au rythme des judicieux coups bien placés et dosés que Vous me portiez. Cette situation m'excita énormément. J'étais une sorte de pantin qui ne pouvait plus rien faire d'autre que de se laisser faire. Pendant quelques instants, Vous Vous amusâtes à me pousser pour que je me balance dans le vide, totalement ...
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