1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°983)


    Datte: 31/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... et Vous y avez fixé un bar d'écartement.
    
    - Tu vas bientôt avoir le droit de jouir autant que tu le souhaiteras petite chienne, mais avant je veux que tu essaies de te retenir aussi longtemps que possible. Je te laisse décider toi-même le temps que cela durera. Sache cependant que plus tu te retiendras et plus Je serais satisfait. Tu as également le droit de gémir et de crier si ton bâillon te le permet.
    
    Comme pour les seins, l'intensité monta progressivement et au début je retins assez facilement mes orgasmes. Vous n'avez pas fait de réglages préalables. Vous Vous êtes assis face à moi, une télécommande à la main, et vous l'augmentiez progressivement, Vous fiant à mes réactions pour maîtriser Vos gestes. J'arrivais de longues minutes à me retenir de jouir, mais je ne pouvais m'empêcher de me balancer au bout de ma chaîne, et de gémir de plus en plus fort. J'entrais en une sorte de transe, l'électricité parcourant me seins et le dessus de mon sexe, je ne pouvais me focaliser sur rien d'autre. Et sur une dernière montée d'intensité électrique, je partis dans de longs et puissants orgasmes sans fin, déchirant le silence de la pièce de cris rauques et dans un long très long râle jouissif et animal. Je n'étais même pas capable de dire combien d’orgasmes successifs s’enchainaient indéfiniment, tout le temps que l'électricité me parcourait, et même après que Vous ayez tout arrêté. J’étais véritablement en transe, emplie de spasmes me parcourant toute mon échine et mes ...
    ... tremblements de jouissances n’en finissaient plus. Vous m'avez détachée et m'avez pris dans Vos bras le temps que je retrouve mes esprits, ce qui prit un peu de temps. Ça avait été tellement intense que je tremblais encore comme une feuille, je pleurai de bonheur, je ne pouvais calmer ma respiration. Je m'endormis presque dans Vos bras. Quand Vous avez exigé que je retourne à mes corvées, je fus incapable de tenir sur mes pattes. Alors vous m'avez prise dans Vos bras et Vous m'avez emportée pour me déposer délicatement dans mon Cachot dans ma panière afin que je me repose. Vous avez déposé ma couverture sur moi, et je m'endormis instantanément. C'est à ce moment-là que je me suis réveillée, très excitée, et me rendant compte que j'en avais joui dans mon sommeil. Je Vous prie à nouveau de bien vouloir daigner m'en excuser, Maître Vénéré. Respectueusement, Votre esclave soumise à Vos pieds."
    
    J'eus juste le temps de relire mon mail et d'appuyer sur envoyer avant que mes filles ne se lèvent. Bien souvent elles le faisaient simultanément, la première allant toujours réveiller la seconde. Je ne pus consulter ma messagerie pour voir si j'avais une réponse ou non qu'en début d'après-midi lorsqu'elles partirent à la sieste. Je ne pensais qu'à cela toute la matinée. Le Maître n'avait absolument pas laissé paraître ce qu'Il avait pensé lorsque je Lui avais dit ce qu'il s'était passé, et je ne savais donc pas avec certitude si c'était punissable ou non, ni même si je l'avais déçu. Et cette ...
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