1. Telle mère, telles filles ! Ch 5


    Datte: 31/05/2018, Catégories: Humour Mature, Inceste / Tabou Auteur: phantome19, Source: xHamster

    ... choix, sur le même lit, une jeune fille qui n'avait pas de poils, ou sa mère qui en avait énormément et qui était enceinte de neuf mois. Je n'aurais jamais cru qu'il y eût tant d'hommes avides d'enculer une femme grosse.
    
    Enfin Lili vint au monde. Maman se remit assez vite et nous reprîmes le métier aussitôt que possible.
    
    A mon age, à cette époque, les jeunes filles s'habituent à certaines choses plus facilement que les femmes. Les petites filles sont toutes cochonnes et un peu sales. Elles se donnent des rendez-vous d'amour aux chiottes. Elles se pissent sur le ventre. Elles se fourrent le doigt dans le cul l'une de l'autre et elles se sucent. Tu le sais bien.
    
    Pensant que ça pourrait me servir plus tard, maman m'a d'abord fait jouer avec une petite copine qui m'a appris des tas de saletés. C'est drôle, quand j'y pense; j'étais putain depuis deux ans et cette môme-là, je te jure, inventait des saloperies que je n'avais pas vu faire aux hommes.
    
    Enfin c'est elle qui m'a déniaisée sous ce rapport-là, et ce que j'avais commencé avec une copine, je l'ai continué ensuite avec les michetons.
    
    Ça me gêne de te dire ça et pourtant... il y a beau temps que ça ne me gêne plus de le faire. Tu ne sais pas ce que c'est que le métier de putain.
    
    J'étais vraiment jeune quand maman a bien voulu faire coucher avec nous un banquier qui aimait... sais-tu quoi ? Enculer maman jusqu'au fond, retirer sa queue et me la faire sucer. Plus la queue était merdeuse et plus il avait de ...
    ... plaisir à me la fourrer dans la bouche.
    
    Je m'y suis habituée. Et puis, ce que je faisais avec maman, je l'ai fait avec une autre femme, et puis... une jeune fille est si vite dressée à ces choses-là !
    
    L'autre femme était une très jolie gouine, nommée Lucette, que j'aimais bien, qui couchait souvent chez nous et qui avec les hommes ne marchait que par derrière, comme maman et moi. Quand maman a vu que j'avais bien voulu, elle s'est concertée avec elle, et elles m'ont dit toutes les deux qu'à mon âge il était temps que j'apprenne a me faire chier dans la bouche, que ce n'était pas plus difficile que ce que j'avais déjà fait, et que Lucette voulait bien m'apprendre.
    
    Oh ! Je vois bien ce que tu penses... que c'était plus facile pour Lucette que pour moi... Eh bien, ça n'est pas vrai. Réfléchis une minute :
    
    Est-ce que tu le ferais ? Je te connais aussi, moi, maintenant. Imagine une pauvre jeune fille qui n'a jamais essayé ça. Est-ce que tu aurais le courage...! Moi, je trouve que Lucette a été bien gentille et bien complaisante. Et elle avait pitié, la pauvre fille. Je me rappelle que chaque fois, pour n'avoir pas l'air de m'humilier, elle m'embrassait sur la bouche après. Pauvre Lucette !
    
    Que veux-tu ? Je fais tout ce qu'on me dit. J'ai appris ça comme le reste. D'ailleurs il ne faut pas croire qu'on le fait tous les jours. Mais c'est bien utile à savoir parce qu'on fait tout le temps des choses qui y ressemblent. Un homme qui prend deux gouines, qui encule la première ...
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