Telle mère, telles filles ! Ch 5
Datte: 31/05/2018,
Catégories:
Humour
Mature,
Inceste / Tabou
Auteur: phantome19, Source: xHamster
... dans la même rue une petite copine qui était comme Chantal, qui ne pouvait pas sucer un homme sans dégueuler. Aussi j'étais fière parce que ça ne m'arrivait jamais. On me faisait téter des hommes qui n'avaient pas joui depuis quinze jours. Je bavais, j'avais la bouche pleine, j'avalais de travers, mais je trouvais toujours que c'était bon.
Je ne te dis pas à quel âge j'ai perdu mon pucelage de derrière, tu serais outré !
Maman m’a même dit c'était trop tard et que j'aurais pu travailler plus tôt. Pour me préparer, pendant une huitaine de jours elle m'a branlé le cul avec son doigt.
Et puis on a fait deux drôles de cérémonies.
La première devant un petit cercle de gouines qui avaient commandé un godemiché spécial pour moi avec lequel maman m'a enculée. Elles étaient folles de voir une mère dépuceler le cul de sa petite fille et cela les a mises dans un tel état qu'elles ont voulu toutes s'enculer les unes et les autres avec de gros godemichés ! Je n'oublierai jamais cette scène-là.
Une jeune fille qu'une dame avait amenée et qui n'avait jamais été enculée, ni par un homme ni par une femme, a été blessée, horriblement, défoncée, crevée, il y avait du sang partout. Ah ! Je t'assure qu'on en voit dans le métier de putain et que je n'étais pas naïve !
Quelques jours après, seconde cérémonie. Présentée encore comme pucelle, on m'a fait enculer devant un autre public par un jeune garçon de mon âge qui bandait de tout son cœur. Puis maman a si bien gradué les ...
... expériences que, sans trop souffrir et sans accident, je me suis habituée aux queues les plus grosses. Je n'ai jamais saigné. J'ai le trou du cul fait pour ça.
Et surtout... Vraiment, c'est facile à comprendre, toutes les filles veulent faire comme leurs mamans. Les filles d'actrices sont folles de joie quand elles ont un rôle à douze ans. Et les filles de putains... quand elles ont un homme elles se croient...
Mon chéri, je ne sais pas parler, mais je voudrais surtout que tu n'accuses pas maman parce qu'elle m'a vendue. Tu vois comme je suis. Je ne me roule pas sur toi comme une enragée, je n'ai jamais été vicieuse, mais je t'assure que mème si j’étais très jeune, j'étais contente de faire comme maman.
Les jours où elle me prenait dans sa chambre, où je voyais près d'elle un monsieur tout nu où il suffisait que je trousse ma petite robe pour le faire bander, j'étais heureuse ! J’étais fière ! Je me serais laissé enculer depuis le trou jusqu'à la bouche. Vois-tu, le plus beau jouet pour une jeune fille, c'est une belle queue.
Elle soupire en détournant les yeux et son regard rencontre ce qu'elle a oublié en racontant son histoire.
- Oh ! fit-elle. Tu bandes de nouveau ?
- Mais vous avez vingt ans, mademoiselle la petite fille.
- Et tu crois que je suis moins heureuse de te faire bander ? fit-elle en se jetant à mon cou. Tu ne réponds rien, veux-tu que je te suce ?
- Oui et non.
- Qu'est-ce que tu veux dire ? Je fais tout et je n'ai aucune imagination... ...