1. Cours du soir


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Première fois Auteur: Hoppo30, Source: xHamster

    ... femmes étaient ouvertes. Dans l’étroite cabine, Fouzia m’a plaqué contre la paroi et m’a embrassé fougueusement.
    
    Elle m’a glissé dans un soupir qu’elle s’était entraînée avec une de ses meilleures amies. Le contact de sa petite langue chaude m’a enflammé, je l’ai déshabillée sauvagement et enfin, j’ai découvert cette belle poitrine fière et ronde, à peine bronzée, ces mamelons épais, ce ventre plat. J’ai descendu la main, et j’ai constaté que le pubis de Fouzia était complètement imberbe. Mon pénis me tirait à m’en faire mal. Je me suis agenouillé devant elle, qui restait bras ballants. Elle ne savait, à l’évidence, pas trop quoi faire… J’ai fourré mon nez dans sa fente. Je l’ai longuement humée, elle avait une odeur fleurie et forte. Mes doigts se sont aventurés sur son petit mont, et lentement, j’ai écarté sa fente pour découvrir son bouton de rose encapuchonné. Le bout de mes lèvres l’a embrassé. Puis, tout en lui malaxant doucement les fesses, je l’ai léchée de haut en bas, partout sur son sexe mignon à croquer.
    
    Elle m’a demandé de la pénétrer. Ce n’était pas chose facile dans cet endroit. Je lui ai enlevé sa jupe et ses collants, sa culotte blanche, et je lui ai fait poser un pied sur le rebord des cabinets. J’ai déboutonné ma braguette, elle a fixé mon pénis d’un air curieux, quoiqu’un peu effrayé. Je lui ai chuchoté dans l’oreille que j’allais entrer le plus gentiment possible, que je n’allais pas lui faire mal. Ça a eu l’air de la détendre. Puis, j’ai frotté ...
    ... mon gland contre sa chatte, et je l’ai placé à l’entrée de son vagin. « Tu en es bien sûre ? C’est ce que tu veux ? » Elle a fait oui de la tête, les lèvres pincées. Alors, j’y suis allé. Déflorer une jeune femme est la meilleure chose qui puisse arriver à un homme, selon moi. À l’intérieur, elle était douce et chaude, extrêmement serrée. J’ai progressé très lentement, centimètre après centimètre. À chaque fois que mon pénis s’enfonçait un peu, je faisais faire à mon bassin des petits mouvements circulaires pour l’élargir, puis je me remettais à pousser doucement. Son fourreau semblait s’agripper à ma bite comme pour une sodomie.
    
    A un moment, j’ai donné un grand coup, et j’ai enfin senti son pubis contre le mien. J’étais au fond. Fouzia ne faisait aucun bruit. Ses ongles s’enfonçaient légèrement dans mes bras nus, j’ai encore croisé son regard, il était doux, comme si elle était dans un demi-sommeil. Je l’ai embrassée dans le cou, je lui ai léché l’oreille, puis je me suis mis à la pistonner, d’abord doucement, puis de plus en plus violemment. Dans mes bras, elle plus en plus fort, avec régularité, et mon pouce s’est glissé entre nos deux ventres pour aller lui masturber le clitoris. Ses gémissements sont devenus continus, et je l’ai sentie se crisper contre moi. Elle s’est à moitié étranglée dans un petit cri suraigu, et son vagin s’est refermé sur ma bite plusieurs fois d’affilée. Je suis vite ressorti d’elle et j’ai tout lâché dans les toilettes.
    
    Nous n’avons plus ...