1. Cours du soir


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Première fois Auteur: Hoppo30, Source: xHamster

    Je vous écris pour vous raconter une rencontre extraordinaire. Ce n’est pas une histoire spécialement gaie, mais j’avais envie de vous en parler. J’ai rencontré Fouzia dans un cours du soir d’anglais, au centre culturel américain, à Paris. Nous étions une dizaine d’élèves de tous âges en cours. J’ai 35 ans, et je suis cadre commercial. Ma carrière est un peu au point mort, j’ai envie d’aller bosser à l’international, mais je suis trop faiblard en anglais. Donc, la trentaine passée, j’ai décidé de retourner à l’école. Fouzia, elle, avait à peine plus de 18 ans. Très sérieuse et appliquée en cours, elle était assez douée. Plusieurs fois, à la sortie, j’avais tenté de l’aborder, mais elle partait toujours précipitamment, comme si on l’attendait ailleurs.
    
    Les cours d’anglais avaient lieu deux fois par semaine, de 19 heures à 21 heures. Le prof était plutôt jeune, très sympa, un peu tête en l’air. Un soir, je me suis retrouvé, aux côtés de Fouzia, face à une salle de classe fermée. On est allés se renseigner auprès du type de permanence à l’accueil, qui nous a dit que le cours avait été annulé aujourd’hui. Bien sûr, le prof avait prévenu tout le monde, sauf nous deux. Je partais quand Fouzia m’a rattrapé : « Attends, on ne vient pas me chercher avant 21 heures, tu veux qu’on discute un peu ? » Ça faisait longtemps que j’attendais ça. On est allés s’asseoir sur des marches entre deux étages, le centre était plutôt désert à cette heure-là et peu mieux compris Fouzia. Elle avait ...
    ... 19 ans et cinq petits frères. Ses parents plaçaient beaucoup d’espoir en elle, ils voulaient absolument qu’elle fasse une grande école. Du coup, ils lui payaient plein de cours en plus, pour qu’elle soit la meilleure. À côté de ça, elle n’avait pas vraiment de loisirs. Elle aidait pas mal sa mère, et elle ne sortait jamais avec des copines faire du shopping, encore moins en boîte. J’entendais, au ton de sa voix, qu’elle le regrettait beaucoup.
    
    Une heure était passée. Je lui ai demandé comment elle faisait pour ses petits amis. Elle a ri et m’a répondu avec aplomb : « Tu rigoles ? Je n’en ai jamais eu, mon père me tuerait si j’en avais un. » Je lui ai dit qu’elle ne savait pas ce qu’elle manquait. Que l’amour charnel, c’était quelque chose de très beau. On commençait à fatiguer, Fouzia avait posé sa tête sur mon épaule, mes mains ne se décrochaient pas de mes genoux, mais mes yeux se portaient souvent sur la lourde poitrine que dissimulait entièrement un pull à col roulé marron. Elle m’a confié que si ça se trouvait, elle n’aurait jamais l’occasion de connaître l’orgasme, si le mari qu’on lui imposait était impuissant, ou égoïste. Nos regards se sont croisés. Sa main est venue se balader sur mon torse, puis sur ma braguette. Fouzia n’osait plus me regarder. J’ai bandé.
    
    J’avais très envie d’elle. On n’a pas parlé, on est allés directement dans les toilettes du deuxième étage. Elles étaient fermées. On est montés au troisième et dernier étage. Cette fois, les toilettes des ...
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