1. Le monde des hommes-chiens. (2)


    Datte: 24/01/2018, Catégories: Divers, Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... autre.
    
    — Une autre ?
    
    — Je vais vous expliquer cela mais continuons la leçon d’anatomie si vous voulez. Voyez comment la verge turgescente est couronnée par ses jellubsters quand ils suintent. N’est-ce pas joli ?
    
    — Mais... Quelle est cette boule ?
    
    — Ah oui cette boule...
    
    En effet, à deux ou trois centimètres de la base du pénis, il y avait une sorte d’anneau qui enserrait tout le manche. Assez léger au départ, il prenait du volume alors que sa couleur virait au rouge ce qui tranchait avec le gris de la peau de bite.
    
    Dans votre monde, les animaux que vous appelez chiens et que certaines d’entre vous apprécient (et tout en disant cela il adressa un regard malicieux à trois ou quatre filles alentour) ont en gros la même chose. Cela permet à la fin du coït que la semence reste suffisamment de temps pour féconder.
    
    Et il nous apprit que leur semence était très abondante mais très épaisse, trop pour que leurs spermatozoïdes aient la mobilité suffisante. Donc, le manhund qui voulait féconder une femelle devait uriner en même temps qu’il éjaculait (ce qui était possible à la volonté du mâle et expliquait la taille du méat qui devait laisser gicler les deux liquides simultanément) mais, rendu très liquide le sperme risquait de s’écouler. Il fallait donc attendre et le knot (on l’appela comme celui de nos fidèles toutous) assurait le blocage le temps nécessaire.
    
    Nous ne fîmes pas attention non plus à ce bourrelet très fin et donc très discret mais très dur, ...
    ... anneau qui fait le tour de la bite et qui sertit les jelllubsters entre lui et le gland. Soit que nous ne l’ayons pas regardé de près, soit que nous l’ayons confondu avec l’épaisseur de la peau du prépuce rétracté (et d’ailleurs, comme nous en avons ensuite fait l’expérience, il disparait sous la peau du zob quand elle est très épaisse), nous ne comprîmes son utilité que bien plus tard et pour notre plus grande joie.
    
    Pour le reste, les couilles étaient très grosses, le double d’un homme et très pendantes.
    
    Une fille, la plus petite d’entre nous, très brune, qui était latino-américaine demanda si les mâles avaient tous un pénis aussi gros.
    
    — Absolument. Cependant, comme chez vous il existe des variations de tailles mais beaucoup moins prononcées. Les plus petites n’ont que deux ou trois centimètres en moins et les plus grosses pas plus de trois ou quatre en plus.
    
    — Et sur le modèle là, elle fait combien ?
    
    — 22 pile poil.
    
    Il y eut des murmures : "ça fait quand même vingt-six pour les plus grosses... C’est plus que celle de mon ex-mari... Je vais pas perdre au change..."
    
    Tout ce que nous voulions savoir sur l’anatomie de ces êtres généreux, nous le savions.
    
    — Et donc vous ne nous forcerez pas ? Reprit une fille visiblement un peu inquiète.
    
    — Non !
    
    — Qu’est-ce qui nous l’assure ?
    
    — Cela ne s’est jamais produit.
    
    — Et si nous refusons toutes.
    
    — Je suis sûr que cela n’arrivera pas si j’en juge d’après quelques réactions que je viens d’entendre... Et ...
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