Redevance télévisuelle
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
fh,
amour,
mélo,
coupfoudr,
amourpass,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... découvrons chaque jour, dix ans à chercher à nous apprivoiser mutuellement, malgré nos têtes de mule respectives, dix ans à construire notre bonheur… Dix ans d’amour, de tendres sentiments, de folies nocturnes. Je sais ce qu’elle désire, je sais comment elle le désire ; le privilège de se mettre au mieux au diapason de celle qu’on aime !
Il est vrai qu’il m’arrive encore de me planter en beauté… Mais au moins j’essaye de faire au mieux, autant qu’elle aussi, de son côté, fait du mieux pour me rendre heureux.
Il va être bientôt minuit, elle a déjà joui de multiples fois, mais elle adore ça. Au début, elle est plutôt passive, c’est à moi de la « chauffer » en quelque sorte… Il faut de nombreux câlins, de bisous, d’agaceries. Je joue avec ses seins tout dressés, je taquine ses tétons tout rouges sous le désir. J’explore du bout de ma langue son intimité, je contourne avec délicatesse son bouton rose, je glisse le long de ses lèvres intimes, elle jouit ainsi une première fois, doucement, puis une seconde, puis d’autres fois parfois, le tout en crescendo. Alors je me frotte à elle, nos sexes collés l’un à l’autre, mon frein à l’orée de son clitoris déjà très turgescent. Elle soupire d’aise. D’autres plaisirs, d’autres jouissances. Longtemps. Puis je me glisse en elle, lentement, posément, et alors commence une longue montée vers d’autres cieux…
Elle est sur moi, dans une de ses positions préférées, celle où elle me chevauche impudiquement, totalement, rivée, vissée ...
... sur mon pieu, pivotant autour de lui comme l’axe du monde, s’en servant comme d’un jouet, l’épousant comme un être aimé.
Moi, je vois son corps adoré, ses seins qui gigotent lubriquement sous ses assauts, son ventre rond oscillant, ses hanches que je pétris, son menton vers le plafond, ses petits cris, son souffle court. C’est primal, c’est bestial, mais c’est bon, si bon !
Je vois ma bite entrer et sortir de ses lèvres luisantes, je la vois s’enfoncer sans répit, sans vergogne, sans lassitude. Je voudrais la remplir, occuper tout son vagin, l’exploser, la faire mourir de plaisir, la dévorer même. J’ai du mal à me contenir, je veux rester dur pour elle, pour moi, faire durer à l’infini ce moment où elle est sur moi et moi en elle, cet instant où c’est elle qui dirige tout, où c’est elle qui s’offre son plaisir, où c’est elle l’impudique, celle qui désire, qui veut et qui prend.
Ses ongles rentrent dans ma chair, mes bras souffrent, son plaisir s’annonce, ses cris redoublent, ses paroles sont incohérentes. Ses griffes entrent en moi, je serre les dents, son corps s’agite, des vagues rayonnent sur sa chair, sa peau, ses seins ballotant sous ses vastes et brutales secousses.
Un cri, un seul, un long hululement, animal…
Mes bras sont en sang, ma queue est torturée sous ses soubresauts déments, Cécile se tord, ondule, vacille, vibre ! Un instant de folie, d’abandon ! Soudain, comme vidée, épuisée, elle s’affaisse sur moi, son nez dans mon cou, son bassin frissonne ...