Robert
Datte: 29/05/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
vacances,
froid,
Oral
nopéné,
confession,
Auteur: Ali, Source: Revebebe
... que moi je n’ai pas ses réticences absurdes. Il bande, il a envie : je vais donc le branler, le faire jouir, qu’il le veuille ou non. Je commence à le masser. Au travers du tissu rêche de son jeans, la longue tige frémit lorsque mes doigts l’enserrent. Je caresse lentement la preuve de son désir toujours présent.
Robert se lève alors et me fait face. Je défais aussitôt la ceinture et la fermeture Éclair de son pantalon et je le baisse doucement. Il se retrouve en boxer devant moi, le pantalon sur les chevilles. Un boxer déformé, apparemment bien garni ! Il bande. Il bande quand même pour moi, c’est plutôt flatteur. Même s’il ne veut pas de moi ! Je glisse ma main le long de ses cuisses, entre elles, le forçant à les écarter pour me laisser le passage entre elles. Puis je reviens poser la main sur l’avant de son boxer. Je le caresse. Une de mes mains enserre son sexe et l’autre ses boules, par-dessus le tissu. Je sens son sexe palpiter et tressauter dans ma main. Il ferme les yeux et gémit doucement sous la pression de mes doigts. Il me refuse mon plaisir, m’abandonne, mais il est tout à fait prêt à prendre le sien, sans vergogne !
N’y tenant plus, je tire sur son boxer vers le bas pour l’en débarrasser. L’élastique de celui-ci accroche au passage son sexe bandé et l’entraîne avant de le libérer tout à coup brusquement. Celui-ci se redresse comme un ressort vers le haut et se balance devant mes yeux. Mon Dieu, quel bel engin ! Long, épais, fièrement dressé devant moi ! ...
... Jamais je n’en ai vu un pareil ! Il se redresse, fier, tendu. Je le prends dans mes mains. Il est très gros et très chaud, dur comme du bois, palpitant et tonique. Le gland, gorgé de sang, violacé, est à demi décalotté. Je masturbe doucement ce pieu arrogant, découvrant complètement le gland puis le recouvrant à nouveau. Avant de recommencer. Encore et encore.
Petit à petit je sens Robert se rapprocher de mon visage. Je le vois venir. Il croit que je vais le sucer. Même si j’en ai très envie, je ne peux pas. Je ne veux pas. Il devra se contenter de ce petit coup de langue, puis de cet autre. Mais il force ma bouche que j’entrouvre pour prendre quand même un peu son gland. Il y entre avec peine. Je devrais m’arrêter là. Mais j’ai quand même très envie de le sentir dans ma bouche rien qu’un peu, juste pour voir. Je laisse donc entrer mon adorable violeur.
Il manœuvre avec délicatesse, ressort et entre à nouveau un peu plus, puis se retire doucement ; seul son gland reste à l’orée de ma bouche. Je l’attire à moi. Il est là, debout, sa tige fièrement dressée. Je veux goûter ce fruit gorgé de sève. Le coquin comprend mon désir, cambre les reins, venant frôler mes lèvres du bout de sa splendide virilité. Je le caresse lentement, retroussant son prépuce pour libérer le gland gonflé, luisant. Mes lèvres savourent à nouveau cette virilité dressée en mon honneur. J’arrache de longs soupirs à mon presque amant en jouant des lèvres et de la langue sur la tige frémissante, aspirant ...