1. Robert


    Datte: 29/05/2018, Catégories: fh, extracon, vacances, froid, Oral nopéné, confession, Auteur: Ali, Source: Revebebe

    ... retour ; Robert me répond alors que s’il n’est pas sec, je n’aurai qu’à le ranger dans mon sac, que ma poitrine se tient suffisamment bien pour que je puisse m’en passer. Et que d’ailleurs, glisser sur des skis se fait sans à-coups, sans secousses, contrairement à la marche ou à la course. Je ne le montre pas, mais ce compliment sur ma poitrine me fait plaisir. Je mets mes mains sur ma tête pour que Robert puisse sécher maintenant mes épaules, mes aisselles et ma poitrine dénudée. Ce qu’il fait. Soigneusement. Très soigneusement. Trop ?
    
    Bien vite cependant, il lâche la serviette qui glisse sur mes genoux pour saisir mes seins au creux de ses mains… Je pousse un cri de surprise. Un frisson m’envahit : le contact de ses mains, encore froides, fait aussitôt durcir mes tétons qui dardent sous ses doigts. Heureusement, ses mains froides se réchauffent peu à peu en parcourant le haut de mon corps. Je suis bien, détendue, offerte au soleil, offerte à ses douces caresses… Je m’abandonne, appuyée contre lui. Je sens, contre l’arrière de ma tête au travers de son pantalon, la bosse que fait sa virilité. Il bande. Pour moi ! Simplement en caressant ma poitrine et mon dos.
    
    Après un long moment de caresses, il me demande :
    
    — Ça va ? Tu n’as pas froid ?
    — Oh non ! Je me sens bien.
    — Je voudrais que tu restes comme ça pendant que nous mangeons…
    — Torse nu ? Et si j’ai froid ?
    — Eh bien, tu te rhabilleras…
    — … Bon, d’accord. Mais c’est bien pour te faire plaisir ! Tu as ...
    ... faim, toi ?
    — Oui… mais j’ai surtout faim de toi !
    — Mangeons d’abord le pique-nique. Il nous faut reprendre des forces ; nous en aurons besoin !
    — Ah bon ? Besoin pour quoi ?
    — Pour le retour, tout à l’heure.
    — Ah, le retour…
    — Oui… après la sieste.
    
    Oh, ce regard qu’il me jette alors !
    
    Nous tirons notre repas des sacs et le dévorons. Rapidement.
    
    Le repas terminé, Robert se penche vers moi, m’enlace et m’embrasse. Sa langue force doucement mes lèvres. Pendant que nos langues se caressent, sans nous séparer il me fait étendre sur le tronc. Je frissonne quand mon dos nu touche ce tronc froid et rugueux où reste encore un peu de neige. Mais pour rien au monde je ne me relèverais ! Et ses doigts s’aventurent sur mon pantalon de ski, parcourant mon ventre, suivant la courbe de mon mont de Vénus, revenant comme s’ils hésitaient, puis reprenant leur progression en allant plus loin, plus bas, comme pour tester ma réaction. Emportée par des sensations indicibles, je le laisse faire, désireuse de vivre ces sensations intenses qui commencent à m’enivrer.
    
    S’enhardissant, les doigts s’approchent millimètre par millimètre de la fente qu’ils doivent deviner à travers le pantalon, le collant et la dentelle de mon slip. Je connais, je vois l’état de l’homme qui joue ainsi de moi, mais ses doigts à lui perçoivent-ils mon excitation ? Sentent-ils l’humidité qu’ils provoquent ?
    
    Enfin ils sont sur la commissure supérieure de mes grandes lèvres et descendent par mouvements de ...
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